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Des experts des deux camps ont discuté pendant quatre jours à Vienne pour définir les modalités d'application de l'accord provisoire conclu fin novembre entre l'Iran, d'une part, et les cinq membres du Conseil de sécurité de l'Onu (Etats-Unis, Russie, Chine, France et Grande-Bretagne) et l'Allemagne, d’autre part.
Cet accord d'une validité de six mois prévoit la suspension de certaines activités nucléaires iraniennes en échange de la levée partielle et progressive de sanctions internationales contre la République islamique.
"Au regard de la complexité des questions techniques en discussions, il est devenu évident que des séances de travail supplémentaires étaient nécessaires", a dit Michael Mann, porte-parole de Catherine Ashton, haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères et interlocutrice désignée par le P5+1 dans les négociations avec l'Iran.
Des consultations vont avoir lieu dans les différentes capitales et les discussions devraient reprendre bientôt, a-t-il ajouté.
L'accord de Genève conclu en novembre prévoit qu'il n'y aura pas de nouvelles sanctions contre l'Iran durant la période intérimaire de six mois pendant laquelle Téhéran a accepté de geler le développement de son programme nucléaire. Ces derniers jours, les responsables iraniens avaient mis en garde contre l'adoption de nouvelles sanctions en affirmant qu'elles affecteraient l'accord de Genève. Les négociations portent notamment sur le sort précis de la centrale d'Arak, où l'Iran compte poursuivre les travaux de construction pendant la période de transition de six mois, mais où le pays s'est engagé à ne pas augmenter la capacité de production du réacteur ni à produire de nouveau du combustible.