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Le film "Omar m'a tuer" représentera le Maroc à la prochaine compétition des Oscars qui se déroulera en 2012. Le long-métrage signé du réalisateur marocain Roschdy Zem a été choisi par une commission de sélection, présidée par l'écrivain et critique de cinéma, Mohamed Gallaoui, à l’issue d’une réunion tenue récemment à Rabat.
Sortie en juin dernier, ce film pointe les zones d'ombre du drame survenu le 24 juin 1991 au domicile de Ghislaine Marchal, retrouvée morte dans la cave de sa villa de Mougins, et dresse le portrait d’Omar Raddad, jardinier de la victime au moment des faits, et dont le calvaire est magistralement interprété sur écran par un Sami Bouajila bouleversant.
Condamné par des lettres de sang qui l’accusent en ces termes: « Omar m’a tuer », une tragédie s’abat sur cet homme parlant peu, comprenant mal le français et ayant la réputation d’être calme et sérieux. Broyé par la machine judiciaire, qui en fait le coupable évident, Omar Raddad sera écroué à la prison de Grasse, quelques jours après le drame. Il n’en sortira que 7 ans plus tard. Gracié, il continuera son combat : prouver son innocence.
Le film "Omar m'a tuer" va concourir dans la catégorie du meilleur film en langue étrangère, indique le Centre cinématographique marocain (CCM), précisant que le film a été choisi par une commission composée de critiques de cinéma, comédiens, producteurs, cinéastes et de responsables au sein du CCM.
Produit en 2010, ce drame d’1h25min est interprété par Sami Bouajila, Denis Podalydès, Maurice Bénichou, entre autres.
Sortie en juin dernier, ce film pointe les zones d'ombre du drame survenu le 24 juin 1991 au domicile de Ghislaine Marchal, retrouvée morte dans la cave de sa villa de Mougins, et dresse le portrait d’Omar Raddad, jardinier de la victime au moment des faits, et dont le calvaire est magistralement interprété sur écran par un Sami Bouajila bouleversant.
Condamné par des lettres de sang qui l’accusent en ces termes: « Omar m’a tuer », une tragédie s’abat sur cet homme parlant peu, comprenant mal le français et ayant la réputation d’être calme et sérieux. Broyé par la machine judiciaire, qui en fait le coupable évident, Omar Raddad sera écroué à la prison de Grasse, quelques jours après le drame. Il n’en sortira que 7 ans plus tard. Gracié, il continuera son combat : prouver son innocence.
Le film "Omar m'a tuer" va concourir dans la catégorie du meilleur film en langue étrangère, indique le Centre cinématographique marocain (CCM), précisant que le film a été choisi par une commission composée de critiques de cinéma, comédiens, producteurs, cinéastes et de responsables au sein du CCM.
Produit en 2010, ce drame d’1h25min est interprété par Sami Bouajila, Denis Podalydès, Maurice Bénichou, entre autres.