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Le film documentaire ‘’Azi Aiyma’’ (Vient ma mère), réalisé en 2009 par Sami Shalom Chetrit a été projeté récemment au Musée du judaïsme marocain, sis à Casablanca.
Le réalisateur de ce documentaire né au Maroc en 1960 et qui vit actuellement à New York, fait voyager le spectateur, 77 minutes durant, à travers les souvenirs d’enfance de sa mère ‘’Yakut”, marocaine de confession juive.
Le guide de ce voyage nostalgique sera une photo de classe qui servira à Yakut d’aller à la recherche de ses camarades avec lesquelles elle repartagera les insouciances de l’enfance, la camaraderie, la joie de vivre d’antan et les mélodies l’égayant, les plaisirs de table, les traditions tout autant que l’éducation scolaire et religieuse.
A travers les histoires narrées et les expériences remémorées, c’est tout un pan de l’histoire judéo-marocaine qui est revisitée et reconstituée dans ce documentaire, le deuxième signé par Sami Chetrit qui avait déjà réalisé en 2003 son premier documentaire intitulé ‘’The Black Panters speak’’.
Ce travail rappelle les liens solides qui unissent les Marocains de confession juive là où ils vivent, a fait souligner le directeur du Musée du judaïsme marocain, Simon Levy, ajoutant que ce travail traduit l’attachement des juifs d’origine marocaine de 2ème voire de 3ème génération à leur mère patrie, le Maroc, qui a toujours été un pays de partage et de cohabitation des religions notamment.
Sami Shalom Chetrit s’est dit ravi de voir son documentaire projeté dans son pays d’origine, le Maroc, et précisément au Musée du judaïsme marocain, le seul du genre qui existe dans le monde arabe.
L’auteur de ce film documentaire est également historien, poète et a notamment écrit ‘’Le conflit des Orientaux en Israël : 1948-2003’’ qui a été traduit en arabe par Samir Ayash et publié par MADAR (Ramallah).
Diplômé d’universités israélienne et américaine, Sami Chetrit compte à son actif une étude sur “Les politiques des mizrahis en Israël” en 2001 et plusieurs poèmes publiés entre 1982 et 2003.
Le réalisateur de ce documentaire né au Maroc en 1960 et qui vit actuellement à New York, fait voyager le spectateur, 77 minutes durant, à travers les souvenirs d’enfance de sa mère ‘’Yakut”, marocaine de confession juive.
Le guide de ce voyage nostalgique sera une photo de classe qui servira à Yakut d’aller à la recherche de ses camarades avec lesquelles elle repartagera les insouciances de l’enfance, la camaraderie, la joie de vivre d’antan et les mélodies l’égayant, les plaisirs de table, les traditions tout autant que l’éducation scolaire et religieuse.
A travers les histoires narrées et les expériences remémorées, c’est tout un pan de l’histoire judéo-marocaine qui est revisitée et reconstituée dans ce documentaire, le deuxième signé par Sami Chetrit qui avait déjà réalisé en 2003 son premier documentaire intitulé ‘’The Black Panters speak’’.
Ce travail rappelle les liens solides qui unissent les Marocains de confession juive là où ils vivent, a fait souligner le directeur du Musée du judaïsme marocain, Simon Levy, ajoutant que ce travail traduit l’attachement des juifs d’origine marocaine de 2ème voire de 3ème génération à leur mère patrie, le Maroc, qui a toujours été un pays de partage et de cohabitation des religions notamment.
Sami Shalom Chetrit s’est dit ravi de voir son documentaire projeté dans son pays d’origine, le Maroc, et précisément au Musée du judaïsme marocain, le seul du genre qui existe dans le monde arabe.
L’auteur de ce film documentaire est également historien, poète et a notamment écrit ‘’Le conflit des Orientaux en Israël : 1948-2003’’ qui a été traduit en arabe par Samir Ayash et publié par MADAR (Ramallah).
Diplômé d’universités israélienne et américaine, Sami Chetrit compte à son actif une étude sur “Les politiques des mizrahis en Israël” en 2001 et plusieurs poèmes publiés entre 1982 et 2003.