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L’occasion est ainsi donnée aux cinéphiles et curieux du Massachusetts (Etats-Unis) de découvrir et d’apprécier la thématique d’un documentaire qui revient sur une situation absurde, celle que vivent au quotidien oubliés, exilés et apatrides et qui n’aspirent qu’à une seule chose : retrouver la terre de leurs ancêtres.
Le documentaire «My land» donne la parole à de vieux réfugiés palestiniens qui ont fui en 1948 sans jamais retourner sur leur terre, et qui vivent dans des camps au Liban depuis plus de 60 ans, suggère le synopsis. « Cette parole est entendue par de jeunes Israéliens de 20 ans qui construisent leur pays, se sentent viscéralement attachés à leur terre, mais sans jamais vraiment savoir expliquer pourquoi. Entre ces deux mémoires, il y a une réalité. La réalité de deux peuples qui se battent pour la même terre. Il en ressort un dialogue à distance qui met en perspective ce conflit sous un angle avant tout humain », souligne-t-on dans une note.
Le Festival du film palestinien à Boston a été créé en 2007 avec un objectif : découvrir les productions dont les thèmes explorent la culture palestinienne et témoignent de l’expérience de ce pays.