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Le jury a salué « le choix de faire jouer des acteurs non-professionnels et la capacité à aborder avec sensibilité et humour le sujet tabou de la religion » soulignent les organisateurs du Festival qui s’est tenu du 11 au 18 juin courant à Tarifa.
Pour le tournage de son précédent film, des décors avaient été construits sur des parcelles louées à des habitants du village. À la fin du tournage, l’équipe du film quitte le village, les habitants détruisent les décors sauf...la mosquée.
Une Mention spéciale a été attribuée au film documentaire « Ashlaa » de Hakim Belabres « pour sa capacité à concilier magistralement une histoire individuelle avec une problématique universelle, précisent les promoteurs de ce grand rendez-vous dédié au cinéma africain qui affirment que plus de 200 réalisateurs africains ont répondu présent à la huitième édition du Festival du cinéma africain de Tarifa.
Notons que parmi les cinéastes africains présents à cet événement, figurait le légendaire Moustapha Alassane qui s’est intéressé, cette année, à la diaspora africaine en Amérique latine et au rôle du cinéma dans les récentes révolutions de Tunisie et d’Égypte. Le cinéaste a également offert une rétrospective du cinéma congolais.
Le 8ème Festival du cinéma africain de Tarifa a reparti 46.500 euros en prix à 8 films africains. Le jury a sélectionné les lauréats parmi plus de 140 films de 23 pays.