Autres articles
-
25ème Festival Gnaoua d'Essaouira. Instrumentistes virtuoses et shows scéniques à l’affiche
-
Tanger à l'heure du "House of Beautiful Business Festival"
-
Le patrimoine culturel et civilisationnel du Maroc à l'honneur au Guatemala
-
L’ENS de Meknès célèbre l’écrivain marocain Abdelfattah Kilito
-
"Opération Madonna". Rio prête à accueillir un concert géant de la star
La 12ème édition du Festival international de luth de Tétouan, qui s'est ouverte jeudi soir, au mythique "Teatro Espanol" de la ville, a rendu un vibrant hommage au célèbre chanteur et musicien Abdelouahab Doukkali, en présence de plusieurs personnalités et d'un public nombreux.
La cérémonie d'hommage au musicien et interprète Abdelouahab Doukkali a été précédée par la projection d'un documentaire retraçant la vie de ce monument de la musique marocaine né à Fès en 1941, et qui, en 1965, a réussi à révolutionner la chanson marocaine avec son éternel tube "Mana Illa Bachar".
Ce musicien, également artiste-peintre et comédien, s'est imposé sur la scène internationale comme en témoignent les différents prix et hommages qu'il a reçus au cours de sa carrière, notamment le prix d'honneur de la ville américaine d'Atlantic City (1995), la clé de la ville de New Jersey, symbole de paix et d'amitié, la médaille d'or du mérite décerné par le Pape Jean Paul II (2004), le Grand Prix humanitaire de France (2006).
A travers ce festival dédié au luth, instrument à cordes qui symbolise la musique arabe raffinée, les organisateurs tiennent à mettre en valeur les potentialités culturelles et artistiques de cette ville méditerranéenne et son positionnement stratégique sur l'échiquier de la musique euro-méditerranéenne.
Ce festival a vu la participation de musiciens du Maroc, de Palestine, du Liban, de Syrie, d'Egypte, de Turquie, de Norvège, de Grande Bretagne et d'Arménie.
La cérémonie d'hommage au musicien et interprète Abdelouahab Doukkali a été précédée par la projection d'un documentaire retraçant la vie de ce monument de la musique marocaine né à Fès en 1941, et qui, en 1965, a réussi à révolutionner la chanson marocaine avec son éternel tube "Mana Illa Bachar".
Ce musicien, également artiste-peintre et comédien, s'est imposé sur la scène internationale comme en témoignent les différents prix et hommages qu'il a reçus au cours de sa carrière, notamment le prix d'honneur de la ville américaine d'Atlantic City (1995), la clé de la ville de New Jersey, symbole de paix et d'amitié, la médaille d'or du mérite décerné par le Pape Jean Paul II (2004), le Grand Prix humanitaire de France (2006).
A travers ce festival dédié au luth, instrument à cordes qui symbolise la musique arabe raffinée, les organisateurs tiennent à mettre en valeur les potentialités culturelles et artistiques de cette ville méditerranéenne et son positionnement stratégique sur l'échiquier de la musique euro-méditerranéenne.
Ce festival a vu la participation de musiciens du Maroc, de Palestine, du Liban, de Syrie, d'Egypte, de Turquie, de Norvège, de Grande Bretagne et d'Arménie.