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Selon Jean-Claude Cintas, le film n’est pas un documentaire, mais bien un ‘’véritable film d’auteur poétique’’. Cette fresque cinématographique de 64 minutes en 12 tableaux -12 stations en 12 chantpoèmes- allie déambulations poétiques et spirituelles dans les ruelles et impasses, ateliers d’artisans, souks, médersas, écoles, riads et palais de la médina de Fès - aux 12 siècles d’existence - saupoudrée d’extraits de concerts.
En voix off, l’auteur déclame ses 12 chants d’amour que les images enluminent et que la musique du prestigieux oudiste marocain Driss El Maloumi accompagne.
‘’Fès ma belle, ma délicieuse’’, ‘’Mon frère, je marche dans tes ruelles’’, ‘’Femmes des deux rives’’, ‘’Dentelles d’art et de sacré : zelliges, stucs, zouaks’’, ‘’Hors du temps, tu t’enivreras de Tout’’, ‘’L’eau, l’or de la vie’’, ‘’Les enfants à l’école de la vie’’, ‘’De babs en souks emmuraillés’’, ‘’Les tanneurs de La Chouara’’, ‘’Maîtres artisans : dinandiers, menuisiers, tisserands’’, ‘’Le Paradis terrestre, entre ombre et lumière’’ et ‘’Dans les patios et les jardins’’ sont les douze chapitres/chantpoèmes qui font le film.
Artiste protéiforme, Jean-Claude Cintas se base dans son travail sur l’écriture, mais aussi sur la voix, le chant, la chanson, la musique, la peinture, le cinéma, la photographie, la typographie, la réalisation et l’édition d’art. Né à Oujda, il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le Maroc. Il a été notamment directeur du Fès Jazz in Riad Festival en 2009 et 2010.