-
Clôture à Agadir du 2ème Festival national des jeunes chorégraphes
-
Installations immersives, IA et art génératif au programme de la 31ème édition du FIAV
-
Tomber de rideau sur le 1er Festival international des cultures de Casablanca
-
La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
Des circonstances pareilles ont été vécues récemment lors de la première soirée de la 4ème édition du Fès danse festival, qui a eu lieu à l'espace " Houria ".
En effet, nous avons assisté à des scènes pratiquement obscènes interprétées par Themedanse (France), sous le couvert de la danse corporelle. Un spectacle qui a fait fuir de nombreux spectateurs lorsque certaines artistes ont commencé à se débarrasser de leurs tenues légères. A croire que le complexe se transformait en lieu de " strip-tease ".
Des instants dont nous refusons de publier des photos, pudeur oblige.
Il n'empêche qu'il faut rendre à César ce qui lui appartient, à savoir que le public a apprécié à sa juste valeur le spectacle présenté lors de la seconde journée par " Ruh " (Belgique). Portant de costumes spécifiques à chaque numéro, les artistes ont dansé sur des rythmes de musique berbère du Moyen Atlas, mais aussi de la musique andalouse, concluant sur des airs de danse " Raggada " qui a enflammé l'assistance et laissé de bonnes impressions. A travers ces danses interprétées merveilleusement, le patrimoine musical national connaît désormais une dimension internationale.
Le Festival a pris fin avec une danse où l'expression du corps est dédiée à l'amour.
Dans l'ensemble, cette édition a laissé planer des interrogations sur l'avenir de ce Festival et les surprises qui peuvent gêner ou choquer l'opinion publique.








Clôture à Agadir du 2ème Festival national des jeunes chorégraphes
