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Dès 9 heures du matin, ce mardi 24 juin, militants, sympathisants, simples citoyens et journalistes ont pris place devant la salle des fêtes de la wilaya de Rabat. Un impressionnant cordon de sécurité a été déployé alors les journalistes de la presse écrite et audiovisuelle ont été empêchés de couvrir l’élection du maire de la capitale. Les grands électeurs sont arrivés par grappes, les traits tendus, s’abstenant de faire le moindre commentaire. En lice pour le fauteuil de maire, l’Usfpéiste Oualalou et Omar Bahraoui, le maire sortant du Mouvement populaire. Toutes les hypothèses sont possibles, nous avait déclaré lundi matin le premier secrétaire-adjoint de l’USFP. Et le suspense a duré jusqu’au bout alors que dans la nuit de lundi à mardi, les tractations menées par le Mouvement populaire et le PAM avaient duré toute la nuit pour empêcher la victoire de l’alliance contre la dépravation.
Aux environs de midi vingt de ce mardi, un élu sort de la wilaya pour annoncer l’élection de Oualalou dès le premier tour. Une victoire accueillie par des applaudissements et des slogans de militants et sympathisants postés depuis le matin devant le siège de la wilaya.
La reconquête de Rabat, un fief ittihadi perdu, a gonflé à bloc le moral des troupes socialistes et à l’heure où nous mettons sous presse, une foule immense attend la sortie de Fathallah Oualalou, toujours à l’intérieur de la salle où se déroule l’élection des vice-présidents et des membres du bureau qui travailleront aux côtés du nouveau maire de Rabat.
Nous y reviendrons.











