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Pour ce qui est de la possibilité de chanter en dialecte marocain, Fares Karam s’est dit ouvert à cette idée, faisant toutefois remarquer que le style musical qu’il maîtrise et dans lequel il excelle reste "le jabali" qui lui a valu une grande renommée dans le monde arabe.
"Le succès demeure relatif et ne tient pas compte de critères particuliers", a-t-il souligné, notant que chaque style musical a ses fans. Et d’ajouter que "ce qui me distingue des autres chanteurs ce sont les titres et la nature des sujets que je traite dans mes chansons". S’agissant de la place des réseaux sociaux dans la vie des artistes, le chanteur libanais a indiqué qu’ils sont devenus une priorité et une nécessité même s'ils ne reflètent pas toujours la réalité.
Né en 1973 à Jezzine (Liban), Fares Karam est un chanteur populaire de variétés et de dabkeh libanais. Il se fait remarquer en 1996 à la télévision libanaise grâce à l’émission Studio El Fan. Depuis, il a enregistré huit albums et se produit dans de prestigieux évènements tels que le Fifteenth Faces Concert en 2005, le Festival de Carthage en 2009, ou le Festival Mawazine en 2011, sans oublier des tournées aux Etats-Unis, au Canada, en Australie et en Amérique du Sud. Dans sa musique, Fares Karam mélange le dabkeh avec des rythmes libanais revisités. Ses succès Shefta, El- Tanoura, Reitani ou encore Neswanji ont beaucoup contribué à propager ce style musical populaire libanais. Le concert de Fares Karem est prévu, mardi soir à la scène Nahda, dans le cadre de la 16ème édition du Festival Mawazine rythmes du monde qui se déroule du 12 au 20 mai à Rabat.









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