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Ces trois artistes «nous présentent chacune et chacun des portraits d’une gestuelle tout à fait singulière. Omar Mahfoudi, met à nu l’humain, découvrant à la fois sa fragilité et sa dimension pulsionnelle, presque animale. On a souvent le sentiment d’une matière fœtale inachevée et déjà animée d’une force que le geste vif de Omar a su lui insuffler», souligne Hakima Lebbar de la galerie Fan-Dok.
Installée à Paris, où elle vit et travaille depuis quelque temps, Francesca Brenda Mitterand offre à voir une peinture de l’instant qui se situe entre la figuration et l’abstraction. L’artiste, native de Bogota en 1956, peint des visages où l’humeur, l’expression, l’émotion prennent place par une magie dont elle seule connaît la recette.
Si l’artiste reconnaît avoir fréquenté un atelier où elle s’est initiée à la peinture de l’instant, tout porte à croire qu’elle a trouvé le mode d’expression qui lui convenait parfaitement. «Depuis elle n’a eu cesse de réaliser de nombreux portraits qu’elle peint d’un seul tenant gestuel. Elle entre comme en dialogue avec les personnages qu’elle va déposer sur la toile et ne lève la tête et les pinceaux qu’une fois qu’ils ont pris vie», apprécie-t-on à la galerie Fan-Dok.
«Leila Lebbar, toute jeune, toute frêle, mais fort déterminée. On a presque envie de dire que ses travaux lui ressemblent. Passant de courbes douces aux couleurs tendres et gaies à des portraits anguleux, électriques et aux couleurs contrastées, elle nous dévoile bien des talents», observe Hakima Lebbar.