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Les artistes viennent s’exprimer par l’image imprimée sur papier au moyen d’une planche gravée. Leurs estampes se distinguent donc des peintures et dessins par le fait qu’elles soient imprimées, et qu’elles puissent donc exister en plusieurs exemplaires. «En travaillant la matière, j’ai découvert que le papier, au lieu d’être un support de l’œuvre d’art, pouvait être l’œuvre d’art elle-même», révèle Tibari Kantour, l’un des artistes.
Présentée successivement à partir de juin 2012 dans onze établissements du réseau culturel français au Maroc, l’exposition «De l’estampe au multiple», qui s’inscrit dans la Saison culturelle France-Maroc, offre la possibilité de découvrir ou de revoir un choix d’œuvres de Saâd Ben Cheffaj, Christiane Vielle, El Houssaïne Mimouni, Bouchaïb Maoual, Mustapha Yesfi, Terry Connor, Abdel Bassit Ben Dahman, Tibari Kantour, Bouchaïb Habbouli, Abdelkrim El Asfar, et d’autres.
Soulignons que cette exposition, co-organisée avec la Délégation du ministère de la Culture des Doukkala-Abda, devait être présentée mercredi soir.








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