Depuis le 22 octobre déjà, elle ne cesse d’accueillir personnellement à la salle Prieuré des visiteurs et des guides. Elle leur explique et sa lumière et son ombre, et comment le paradoxe donne l’art des couleurs, du caché, du connoté et du regard de près comme de loin.
Et encore une fois, Johanna verse, abonde et plonge son pinceau dans le continent africain. Elle esquisse élégamment de beaux visages noirs, sans traits particuliers. On dirait que la culture africaine l’habite de manière continue. Le jaune, le rouge, le blanc… autant de couleurs qui contribuent dans les toiles de Johanna à créer et produire du sens. Elles servent à décliner un sentiment et une passion irrésistible : l’amour de l’Autre.









Importance de la digitalisation dans la préservation du patrimoine culturel



