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HRW dit avoir appris d'un survivant que les gardiens de l'entrepôt avaient lu les noms de 153 détenus lors de l'appel le jour où le massacre a été commis. Ce survivant estime qu'une vingtaine de prisonniers ont réussi à s'échapper et que 125 des 153 étaient des civils. Un bâtiment du complexe porte l'inscription "32e brigade", celle-là même qui est sous les ordres de Khamis Kadhafi. Selon le survivant, le soir du 23 août, des gardiens qui se trouvaient sur le toit ont ouvert le feu sur les détenus, tandis qu'un autre lançait, par l'entrée, plusieurs grenades. L'homme a pu s'échapper au moment où les gardiens rechargeaient leurs armes. "Quatre soldats sont montés sur le toit de l'entrepôt et un autre a ouvert la porte. Ils se sont mis à tirer sur nous du toit, à travers le revêtement métallique. Le type à l'entrée lançait des grenades", a dit le survivant à HRW.