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Une situation inquiétante due, d’après des sources confirmées, à des transferts dans les rubriques du budget effectué par l’ex-conseil municipal qui n’a pas épargné le crédit pour l’achat de la dotation annuelle du vaccin antirabique auprès de l’Institut Pasteur. Ce dernier, a toutefois mis à la disposition de la municipalité une quantité limitée en attendant la solution du problème en 2016.
Un autre facteur accentue, d’après un édile, le problème de rupture de stock du vaccin antirabique : la capitale de la province assume à elle seule tous les cas des morsures provenant des différentes communes qui compte cinq municipalités. A cet effet, la création de bureaux municipaux d’hygiène dans chaque municipalité s’impose en vue de faire face à ce problème qui n’a que trop duré.
Et en attendant le budget 2016, les habitants de la province continueront à cohabiter avec des milliers de chiens errants en l’absence de vaccin antirabique.