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Ibrahim Chaâlil, agent d’autorité à la quatrième circonscription a été sauvagement tabassé à Essaouira El Jadida.
Hospitalisé depuis plusieurs jours, il a affirmé avoir été agressé par deux individus. Ces derniers avaient, auparavant, tenté de faire pression sur l’agent et l’amener à fermer les yeux sur les travaux de construction qu’ils ont entrepris clandestinement à Ghazoua.
«Je sortais d’une réunion au siège de la quatrième circonscription, lorsque deux individus, K-A et H-M, m’ont saisi par le bras et commencé à me tabasser aveuglément et sauvagement. Je ne sentais plus mes jambes et je ne pouvais plus voir avec mon œil gauche, j’ai même entendu l’un d’eux proposer à son complice de me heurter avec leur voiture ! », affirme Ibrahim Chaâlil qui a été évacué d’urgence au CHP d’Essaouira dans un état critique.
Auditionné par les services sécuritaires depuis quelques jours, Ibrahim demande que justice soit faite, et ne comprend toujours pas comment l’un des agresseurs se soit fait admettre au service chirurgie !
«Je ne comprends pas comment l’un de mes deux agresseurs a été admis à l’hôpital le même jour que moi ! Il n’a pas raté l’occasion pour m’insulter et me menacer », a-t-il affirmé.
Hospitalisé depuis plusieurs jours, il a affirmé avoir été agressé par deux individus. Ces derniers avaient, auparavant, tenté de faire pression sur l’agent et l’amener à fermer les yeux sur les travaux de construction qu’ils ont entrepris clandestinement à Ghazoua.
«Je sortais d’une réunion au siège de la quatrième circonscription, lorsque deux individus, K-A et H-M, m’ont saisi par le bras et commencé à me tabasser aveuglément et sauvagement. Je ne sentais plus mes jambes et je ne pouvais plus voir avec mon œil gauche, j’ai même entendu l’un d’eux proposer à son complice de me heurter avec leur voiture ! », affirme Ibrahim Chaâlil qui a été évacué d’urgence au CHP d’Essaouira dans un état critique.
Auditionné par les services sécuritaires depuis quelques jours, Ibrahim demande que justice soit faite, et ne comprend toujours pas comment l’un des agresseurs se soit fait admettre au service chirurgie !
«Je ne comprends pas comment l’un de mes deux agresseurs a été admis à l’hôpital le même jour que moi ! Il n’a pas raté l’occasion pour m’insulter et me menacer », a-t-il affirmé.
