
-
La pluralité culturelle, vecteur de paix et d’avenir partagé
-
La Maison de la poésie de Tétouan lance sa nouvelle saison culturelle
-
A Lyon, la culture marocaine millénaire s'invite dans la plus grande esplanade d’Europe
-
Les causes nationales dans la poésie du Malhoun au centre d'une conférence dans le cadre du Festival "Malhouniyat"
L'expérience aura lieu le 7 novembre à l'"Hiroshima Mon Amour", salle de concerts et d'expositions de la capitale piémontaise où les spectateurs seront invités à laisser leur smartphone à l'entrée le temps d'une soirée, a annoncé sur Facebook son directeur Fabrizio Gargarone. "C'est très simple. Si tu entres à la soirée, tu ne peux pas avoir ton portable, tu ne peux pas faire de photos, tu ne peux pas +chatter+ (...). Et tu ne pourras partager ce que tu verras qu'en le vivant et en le racontant", explique Fabrizio Gargarone. Le directeur précise qu'il renouvellera l'expérience environ tous les deux mois et qu'il est en train de demander à une série d'artistes, sans préciser lesquels, de se prêter au jeu pour proposer au public "quelque chose de plus vrai, de plus direct et, en fin de compte, de plus intime".Le quotidien La Repubblica précise lundi que si l'expérience s'avérait concluante, elle pourrait s'étendre à d'autres salles italiennes et que l'on pourrait alors voir se généraliser à l'entrée le dispositif du Yondr, une pochette à verrouillage magnétique dans laquelle on glisse son smartphone lors d'un concert. Plusieurs artistes internationaux ont déjà instauré le "No phone" (pas de portable) à leurs concerts parmi lesquels la popstar Madonna ou le chanteur américain et prix Nobel de littérature Bob Dylan.
En France, l'humoriste Florence Foresti a été la première à imposer à ses fans l'utilisation d'une housse de déconnexion pour smartphone pour accéder à ses spectacles.