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La cérémonie d’ouverture de cet événement, organisé sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, à l'initiative de la Fondation du festival, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, le Centre cinématographique marocain (CCM) et d’autres partenaires, a été marquée par un vibrant hommage rendu au réalisateur marocain Nabil Ayouch et à l’acteur jordanien Eyad Nassar.
   
Cette cérémonie, tenue au cinéma Español en présence notamment du gouverneur de la province de Tétouan, Abderrazzak Mansouri, a également été l’occasion de présenter les membres du jury de la compétition officielle des longs métrages, présidé par le réalisateur italien Leonardo di Costanzo, et composé de la réalisatrice et scénariste marocaine Asmae El Moudir, de l’acteur et dramaturge français Serge Barbuscia, de la productrice portugaise Isabel Machado et du réalisateur et scénariste égyptien Amir Ramses.
   
Le public a également eu l’occasion, au cours de cette soirée rythmée par des intermèdes musicaux, de faire connaissance avec les membres du jury Mustapha Mesnaoui pour la critique, composé de la journaliste marocaine Fatima Ifriqui, du critique de cinéma français Cédric Lépine et du journaliste et critique italien Francesco Pontiggia.
   
Les membres du jury de la troisième édition des “Ateliers de Tétouan”, programme dédié au soutien de projets de longs métrages de fiction et de documentaires en développement, ont aussi été présentés.
   
Ce jury comprend l’écrivaine et scénariste Layali Badr (Palestine/Jordanie), l’écrivain et universitaire marocain Mohamed Noureddine Afaya, le producteur allemand Christoph Thoke et le réalisateur et producteur espagnol Ignacio Vuelta.
   
Dix longs métrages et documentaires récents sont en lice cette année pour le palmarès du festival. Provenant de huit pays, ces films explorent une diversité de registres, allant de la fiction intimiste au documentaire engagé.
   
Il s'agit de "Vermiglio ou La Mariée des montagnes" de Maura Delpero (Italie, France, Belgique), "Le lac bleu" de Daoud Aoulad-syad (Maroc), "Bande sonore d’un coup d’Etat" de Johan Grimonprez (France, Belgique), "Evcilik" d’Umit Unal (Turquie), "Il tempo che ci vuole" de Francesca Comencini (Italie, France), "La Guitarra Flamenca de Yerai Cortes" d’Antonio Alvarez (Espagne), "Le Royaume" de Julien Colonna (France), "Mammifère" de Liliana Torres (Espagne), "Sonate nocturne" d’Abdeslam Kelai (Maroc), "İdea" de Tayfun Pirselimoğlu (Turquie).
   
S'exprimant à cette occasion, le président de la Fondation du FCMT, Ahmed Housni, a réaffirmé la volonté du festival de demeurer une plateforme cinématographique dédiée à la promotion du dialogue interculturel et des valeurs de solidarité, soulignant que cette édition, marquée par une forte présence de cinéastes venus du monde arabe et d’Europe, poursuivra son rayonnement auprès des générations futures.
   
Cette cérémonie s’est conclue par la projection du film "Il ladro di bambini" (Le voleur d’enfants) de Gianni Amelio (Italie, 1992), œuvre emblématique du cinéma italien, saluée pour la justesse de sa mise en scène et la profondeur de son regard sur l’enfance.
   
Outre la compétition officielle, le programme du festival propose plusieurs sections, dont “Coups de cœur”, les films hommages, ainsi qu’une sélection d’œuvres emblématiques ayant marqué l’histoire du festival.
   
Des colloques, rencontres et ateliers aborderont également des thèmes liés à la création, à l’esthétique et à la transmission du savoir, animés par des réalisateurs, critiques, universitaires et artistes de renom.
   
Parmi les sujets traités figurent "Femmes cinéastes en Méditerranée : la nouvelle vague", "Comédies en Méditerranée : normes et écarts" et "Géopoétique du cinéma méditerranéen".
   
Depuis sa création en 1985 par l’Association "Amis du cinéma de Tétouan" (ACT), le FCMT n’a eu de cesse de promouvoir les cinématographies de la mare nostrum et de porter haut les valeurs d’une cinéphilie exigeante et diverse.
   
Connu pour son engagement et sa contribution à la diffusion du cinéma méditerranéen, le festival est d’abord celui d’une ville, Tétouan, terreau des arts qui, de la musique aux arts plastiques, a abrité et continue d’abriter des mouvements artistiques qui connaissent un rayonnement bien au-delà de la région.
   
				 
			 La cérémonie d’ouverture de cet événement, organisé sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, à l'initiative de la Fondation du festival, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, le Centre cinématographique marocain (CCM) et d’autres partenaires, a été marquée par un vibrant hommage rendu au réalisateur marocain Nabil Ayouch et à l’acteur jordanien Eyad Nassar.
Cette cérémonie, tenue au cinéma Español en présence notamment du gouverneur de la province de Tétouan, Abderrazzak Mansouri, a également été l’occasion de présenter les membres du jury de la compétition officielle des longs métrages, présidé par le réalisateur italien Leonardo di Costanzo, et composé de la réalisatrice et scénariste marocaine Asmae El Moudir, de l’acteur et dramaturge français Serge Barbuscia, de la productrice portugaise Isabel Machado et du réalisateur et scénariste égyptien Amir Ramses.
Le public a également eu l’occasion, au cours de cette soirée rythmée par des intermèdes musicaux, de faire connaissance avec les membres du jury Mustapha Mesnaoui pour la critique, composé de la journaliste marocaine Fatima Ifriqui, du critique de cinéma français Cédric Lépine et du journaliste et critique italien Francesco Pontiggia.
Les membres du jury de la troisième édition des “Ateliers de Tétouan”, programme dédié au soutien de projets de longs métrages de fiction et de documentaires en développement, ont aussi été présentés.
Ce jury comprend l’écrivaine et scénariste Layali Badr (Palestine/Jordanie), l’écrivain et universitaire marocain Mohamed Noureddine Afaya, le producteur allemand Christoph Thoke et le réalisateur et producteur espagnol Ignacio Vuelta.
Dix longs métrages et documentaires récents sont en lice cette année pour le palmarès du festival. Provenant de huit pays, ces films explorent une diversité de registres, allant de la fiction intimiste au documentaire engagé.
Il s'agit de "Vermiglio ou La Mariée des montagnes" de Maura Delpero (Italie, France, Belgique), "Le lac bleu" de Daoud Aoulad-syad (Maroc), "Bande sonore d’un coup d’Etat" de Johan Grimonprez (France, Belgique), "Evcilik" d’Umit Unal (Turquie), "Il tempo che ci vuole" de Francesca Comencini (Italie, France), "La Guitarra Flamenca de Yerai Cortes" d’Antonio Alvarez (Espagne), "Le Royaume" de Julien Colonna (France), "Mammifère" de Liliana Torres (Espagne), "Sonate nocturne" d’Abdeslam Kelai (Maroc), "İdea" de Tayfun Pirselimoğlu (Turquie).
S'exprimant à cette occasion, le président de la Fondation du FCMT, Ahmed Housni, a réaffirmé la volonté du festival de demeurer une plateforme cinématographique dédiée à la promotion du dialogue interculturel et des valeurs de solidarité, soulignant que cette édition, marquée par une forte présence de cinéastes venus du monde arabe et d’Europe, poursuivra son rayonnement auprès des générations futures.
Cette cérémonie s’est conclue par la projection du film "Il ladro di bambini" (Le voleur d’enfants) de Gianni Amelio (Italie, 1992), œuvre emblématique du cinéma italien, saluée pour la justesse de sa mise en scène et la profondeur de son regard sur l’enfance.
Outre la compétition officielle, le programme du festival propose plusieurs sections, dont “Coups de cœur”, les films hommages, ainsi qu’une sélection d’œuvres emblématiques ayant marqué l’histoire du festival.
Des colloques, rencontres et ateliers aborderont également des thèmes liés à la création, à l’esthétique et à la transmission du savoir, animés par des réalisateurs, critiques, universitaires et artistes de renom.
Parmi les sujets traités figurent "Femmes cinéastes en Méditerranée : la nouvelle vague", "Comédies en Méditerranée : normes et écarts" et "Géopoétique du cinéma méditerranéen".
Depuis sa création en 1985 par l’Association "Amis du cinéma de Tétouan" (ACT), le FCMT n’a eu de cesse de promouvoir les cinématographies de la mare nostrum et de porter haut les valeurs d’une cinéphilie exigeante et diverse.
Connu pour son engagement et sa contribution à la diffusion du cinéma méditerranéen, le festival est d’abord celui d’une ville, Tétouan, terreau des arts qui, de la musique aux arts plastiques, a abrité et continue d’abriter des mouvements artistiques qui connaissent un rayonnement bien au-delà de la région.
 
					  
					  
					  
					  



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