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Près de 35 délégations militaires seront présentes lors du Salon, ainsi que 260 exposants annoncés dont 60% d’internationaux. Des shows aériens sont ainsi prévus, notamment celui de la flotte aérienne de la Marche Verte. Enfin, des conférences seront organisées ainsi que des rencontres B2B afin de fédérer potentiels acheteurs et vendeurs.
Qu’en est-il alors des retombées économiques d’un tel évènement ? Nulle précision n’est fournie sur les éventuels marchés qui auraient été conclus lors de la première édition du salon. Seule certitude : le continent africain ne représente que 5% du marché mondial, soit 95% de potentiel pour les organisateurs plutôt optimistes. Ces derniers rappellent qu’un « salon ne peut exister sans marché » mais l’Aeroexpo n’est que le premier pas d’un processus visant à positionner le Maroc sur le continent africain d’abord, puis à long terme sur la scène internationale dans le domaine de l’aéronautique.
Une certitude cependant : Si notre Salon national veut espérer devenir « le Bourget africain », il est important que toute la lumière soit faite sur ce qui se joue vraiment lors de ce type d’évènement…