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Deux nouveaux romans des écrivaines Loubna Serraj et Valérie Morales-Attias, parus aux éditions La Croisée des chemins, ont été présentés vendredi à Casablanca à l'occasion de la 26ème édition du Salon international de l’édition et du livre (SIEL). "Pourvu qu’il soit de bonne humeur" est le titre du premier roman polyphonique de la jeune écrivaine Loubna Serraj.
Dédié à la "vraie Maya qui a inspiré l’histoire", ce roman est une histoire à plusieurs voix qui traversent le temps pour raconter deux vies de femmes, vivant à deux époques et assoiffées de la "liberté". C'est une histoire intense, inscrite, tour à tour, dans le passé et le présent, parsemée de violence ordinaire et de passion rebelle jusqu'à provoquer cette liberté.
Dans une déclaration à la MAP à cette occasion, Loubna Serraj a expliqué que son roman est l’histoire de deux femmes, à deux époques, qui, "au-delà des liens de sang qui les unissent, se retrouvent hors du temps et de l’espace". "Sur un fond de violence conjugale et de guerre, c’est un hymne à la liberté qui les unit. La liberté que l’on arrache, celle qui fait peur même quand elle paraît si accessible et à la portée", a-t-elle dit.
Pour sa part, Valérie Morales-Attias invite le lecteur à une découverte de "Casablanca", à travers plusieurs vies qui se croisent: celles de Chicha, Esther, Abe Slaoui et une petite fille qui a disparu dans un camp de migrants casablancais, à côté de Colette, la journaliste parisienne qui se joint à la police marocaine. "Mon roman est une histoire à découvrir (...). Ambition, vanité et jalousie, le scénario raconte également les préoccupations contemporaines", confie cette écrivaine et journaliste.
Pour Bahaa Trabelsi, l’auteur de plusieurs romans dont "Souviens-toi qui tu es", ces deux parutions "Pourvu qu’il soit de bonne humeur" et "Casablanca" sont à lire "impérativement". "Casablanca" est à la fois un polar avec "tous ses ingrédients: disparition, crime, suspense, et une vision singulière de la ville, une Casablanca inquiétante et surprenante", affirme l’écrivaine de "La chaise du concierge".
A travers "Pourvu qu’il soit de bonne humeur", une écrivaine est née, confirme Mme Trabelsi. Un très beau roman avec deux personnages attachants, Maya et Lylia. "A deux époques différentes, mais liées par la transmission générationnelle, un héritage lourd va les libérer au-delà du temps", a-t-elle commenté.
Jeune écrivaine, éditrice et chroniqueuse de radio, Loubna Serraj tient également un blog dans lequel elle livre ses "élucubrations" littéraires, sociales et politiques sur des sujets d’actualité. "Pourvu qu’il soit de bonne humeur" est son premier roman. Valérie Morales-Attias est une journaliste, auteur de plusieurs romans, d’essais et de beaux-livres.
Dédié à la "vraie Maya qui a inspiré l’histoire", ce roman est une histoire à plusieurs voix qui traversent le temps pour raconter deux vies de femmes, vivant à deux époques et assoiffées de la "liberté". C'est une histoire intense, inscrite, tour à tour, dans le passé et le présent, parsemée de violence ordinaire et de passion rebelle jusqu'à provoquer cette liberté.
Dans une déclaration à la MAP à cette occasion, Loubna Serraj a expliqué que son roman est l’histoire de deux femmes, à deux époques, qui, "au-delà des liens de sang qui les unissent, se retrouvent hors du temps et de l’espace". "Sur un fond de violence conjugale et de guerre, c’est un hymne à la liberté qui les unit. La liberté que l’on arrache, celle qui fait peur même quand elle paraît si accessible et à la portée", a-t-elle dit.
Pour sa part, Valérie Morales-Attias invite le lecteur à une découverte de "Casablanca", à travers plusieurs vies qui se croisent: celles de Chicha, Esther, Abe Slaoui et une petite fille qui a disparu dans un camp de migrants casablancais, à côté de Colette, la journaliste parisienne qui se joint à la police marocaine. "Mon roman est une histoire à découvrir (...). Ambition, vanité et jalousie, le scénario raconte également les préoccupations contemporaines", confie cette écrivaine et journaliste.
Pour Bahaa Trabelsi, l’auteur de plusieurs romans dont "Souviens-toi qui tu es", ces deux parutions "Pourvu qu’il soit de bonne humeur" et "Casablanca" sont à lire "impérativement". "Casablanca" est à la fois un polar avec "tous ses ingrédients: disparition, crime, suspense, et une vision singulière de la ville, une Casablanca inquiétante et surprenante", affirme l’écrivaine de "La chaise du concierge".
A travers "Pourvu qu’il soit de bonne humeur", une écrivaine est née, confirme Mme Trabelsi. Un très beau roman avec deux personnages attachants, Maya et Lylia. "A deux époques différentes, mais liées par la transmission générationnelle, un héritage lourd va les libérer au-delà du temps", a-t-elle commenté.
Jeune écrivaine, éditrice et chroniqueuse de radio, Loubna Serraj tient également un blog dans lequel elle livre ses "élucubrations" littéraires, sociales et politiques sur des sujets d’actualité. "Pourvu qu’il soit de bonne humeur" est son premier roman. Valérie Morales-Attias est une journaliste, auteur de plusieurs romans, d’essais et de beaux-livres.