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La première édition de la manifestation artistique maroco-espagnole "Fusión Fest" a été marquée, jeudi et vendredi, par deux concerts donnés à Santillana del Mar et San Vicente de la Barquera, à Cantabrie dans le nord de l'Espagne, sous le signe de la fusion entre la musique marocaine et espagnole.
Initié par la Ligue marocaine des jeunes éditeurs de journaux en collaboration avec l'Association musicale et culturelle espagnole Amieva, ce festival a été rehaussé par une fusion des plus exceptionnelles entre l'artiste folkloriste marocain Amir Karam avec son guembri, oud et flûte et la chanteuse espagnole Eva Amieva, accompagnés par la violoniste Laura Villar et la pianiste María Ángeles López.
Organisés sous le thème "Pour continuer à bâtir des ponts artistiques, culturels et humains entre le Maroc et l'Espagne", les deux concerts ont complètement conquis l'assistance par la qualité de la fusion musicale entre des rythmes qui transcendent les frontières à travers un dialogue authentique entre les instruments occidentaux, africains et orientaux.
Les artistes ont gratifié le public d'une expérience unique et d'une prestation qui illustre le rôle important de la musique dans la promotion des valeurs de dialogue interculturel et de paix, a indiqué dans une déclaration à la MAP la maire de la municipalité de Santillana del Mar, Sara Izquierdo.
"Organiser cette manifestation artistique à San Vicente de la Barquera est une opportunité pour connaître la musique marocaine, notamment gnaoua, qui a été une véritable révélation pour moi", a confié dans une déclaration similaire la maire de la ville, Charo Urquiza, exprimant le vœu de voir ce type d'événements se perpétuer au service du partage culturel entre les deux nations.
Ces événements témoignent une fois de plus de la solidité des liens unissant les deux pays, "grâce à notre histoire commune, notre géographie exceptionnelle et notre riche patrimoine", a souligné, pour sa part, la représentante du consulat général du Royaume du Maroc à Bilbao, Zineb Maggouri.
Le festival, qui célèbre l'amitié hispano-marocaine, est un espace qui favorise la projection du riche patrimoine artistique des deux pays, ainsi que la créativité et le talent de leurs jeunes artistes, a-t-elle ajouté.
Même son de cloche chez le président de la Ligue marocaine des jeunes éditeurs de journaux, Mohamed Fajri, pour qui cet événement artistique ne manque pas d'intensifier les échanges culturels et humains entre les deux pays, en valorisant les traditions artistiques communes et en créant un espace propice au dialogue.
Le temps fort de ce festival demeure sans conteste la montée sur scène d'une partie du public, invité par l'artiste Amir Karam à interpréter avec lui la chanson patriotique "Sawt El Hassan" au grand bonheur d’une assistance interactive et enthousiaste.
"Des moments uniques et une première édition qui a tenu toutes ses promesses", s'est réjoui dans une déclaration à la MAP le directeur du festival, Aimane Reghais, qui s'est félicité de l'interaction positive de la communauté marocaine établie dans cette région et la population de Cantabrie avec ce festival.
Initié par la Ligue marocaine des jeunes éditeurs de journaux en collaboration avec l'Association musicale et culturelle espagnole Amieva, ce festival a été rehaussé par une fusion des plus exceptionnelles entre l'artiste folkloriste marocain Amir Karam avec son guembri, oud et flûte et la chanteuse espagnole Eva Amieva, accompagnés par la violoniste Laura Villar et la pianiste María Ángeles López.
Organisés sous le thème "Pour continuer à bâtir des ponts artistiques, culturels et humains entre le Maroc et l'Espagne", les deux concerts ont complètement conquis l'assistance par la qualité de la fusion musicale entre des rythmes qui transcendent les frontières à travers un dialogue authentique entre les instruments occidentaux, africains et orientaux.
Les artistes ont gratifié le public d'une expérience unique et d'une prestation qui illustre le rôle important de la musique dans la promotion des valeurs de dialogue interculturel et de paix, a indiqué dans une déclaration à la MAP la maire de la municipalité de Santillana del Mar, Sara Izquierdo.
"Organiser cette manifestation artistique à San Vicente de la Barquera est une opportunité pour connaître la musique marocaine, notamment gnaoua, qui a été une véritable révélation pour moi", a confié dans une déclaration similaire la maire de la ville, Charo Urquiza, exprimant le vœu de voir ce type d'événements se perpétuer au service du partage culturel entre les deux nations.
Ces événements témoignent une fois de plus de la solidité des liens unissant les deux pays, "grâce à notre histoire commune, notre géographie exceptionnelle et notre riche patrimoine", a souligné, pour sa part, la représentante du consulat général du Royaume du Maroc à Bilbao, Zineb Maggouri.
Le festival, qui célèbre l'amitié hispano-marocaine, est un espace qui favorise la projection du riche patrimoine artistique des deux pays, ainsi que la créativité et le talent de leurs jeunes artistes, a-t-elle ajouté.
Même son de cloche chez le président de la Ligue marocaine des jeunes éditeurs de journaux, Mohamed Fajri, pour qui cet événement artistique ne manque pas d'intensifier les échanges culturels et humains entre les deux pays, en valorisant les traditions artistiques communes et en créant un espace propice au dialogue.
Le temps fort de ce festival demeure sans conteste la montée sur scène d'une partie du public, invité par l'artiste Amir Karam à interpréter avec lui la chanson patriotique "Sawt El Hassan" au grand bonheur d’une assistance interactive et enthousiaste.
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