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Les signataires de la lettre ouverte (Abdelkader Tatou, Nabil Belkhyat, Aziz Dermoumi, Fatima Moustaghfar, Zhor Rachiq, Said Oulbacha, Hassan Maouni, Mohamed Mourabit,) appellent Laenser à la tenue d’une réunion urgente pour sauver « un parti en déliquescence » et, surtout, écrivent-ils, préserver l’unité du MP. Un délai de 10 jours est donné à celui qui préside aux destinées des Harakis pour répondre aux mécontents. En cas de non–réponse, que se passera-t-il ? Les frondeurs évitent pour le moment de répondre à la question. Depuis le limogeage de Mohamed Ouzzine, démissionné de son poste de ministre de la Jeunesse et des Sports, rien n’allait plus entre des ténors harakis et le secrétaire général du parti. Mohand Laenser a d’abord gelé l’appartenance au bureau politique d’Abdelkader Tatou, accusé d’avoir mené une campagne médiatique contre Ouzzine. Le même sort est réservé à Nabil Belkhyat qui est limogé de son poste de président du groupe parlementaire MP à la Chambre basse.
Le dernier conseil national du Mouvement populaire validera la machine à purger. Dans la foulée, une réorganisation de cette formation politique avec une nouvelle répartition des responsabilités sont décidées. Mohamed Ouzzine est proclamé n°2 du parti. C’est désormais lui M. Elections, en charge de la préparation des scrutins communaux et régionaux.