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Les caractéristiques et l'essence du roman interactif ont été, mardi soir, au centre des débats d'un parterre d'écrivains marocains et arabes dans le cadre du 16ème Forum de Charjah sur le récit.
Cette édition se penche sur le roman interactif et l'accompagnement du développement de ce genre littéraire et son interaction avec les mutations sociales. Dans une intervention sur "La révolution numérique et la création : défi et impact", l'écrivain et critique marocain Said Yaktin a souligné que la révolution numérique est désormais une réalité tangible au niveau mondial qui s'impose avec force pour les acteurs de tous les domaines se rapportant à la vie humaine en général et à la culture, la création et les sciences en particulier.
Pour lui, la relation entre la révolution numérique et les Arabes pose nombre de défis qui impactent le présent, le patrimoine et la création culturelle, prônant l'intégration dans le cursus scolaire et universitaire des matières et filières qui traitent ces défis pour mieux les transcender.
Pour sa part, l'écrivaine et critique marocaine Zhor Kram a estimé que dans le contexte de la 4ème révolution numérique ou l'intelligence artificielle, l'ensemble des sociétés sont appelées à être des partenaires dans la production du savoir, notant que le monde est en phase de révision des concepts, notamment le concept de la littérature et celui de l'interaction dans la littérature numérique.
De son côté, Rachid Idrissi, professeur à la Faculté des lettres de Ben Msik, relevant de l'Université Hassan II de Casablanca, a mis l'accent sur la nécessité de dépasser la logique selon laquelle la littérature numérique s'inscrit en rupture avec la littérature traditionnelle en papier et que la littérature numérique a permis de mieux promouvoir l'écriture, appelant à s'abstenir à avancer ce genre de comparaison simpliste et à examiner la question en profondeur pour mieux la cerner.
Quant aux interventions des écrivains arabes, elles se sont articulées autour de la révolution numérique et de son impact sur la création notamment le roman.
Cette édition se penche sur le roman interactif et l'accompagnement du développement de ce genre littéraire et son interaction avec les mutations sociales. Dans une intervention sur "La révolution numérique et la création : défi et impact", l'écrivain et critique marocain Said Yaktin a souligné que la révolution numérique est désormais une réalité tangible au niveau mondial qui s'impose avec force pour les acteurs de tous les domaines se rapportant à la vie humaine en général et à la culture, la création et les sciences en particulier.
Pour lui, la relation entre la révolution numérique et les Arabes pose nombre de défis qui impactent le présent, le patrimoine et la création culturelle, prônant l'intégration dans le cursus scolaire et universitaire des matières et filières qui traitent ces défis pour mieux les transcender.
Pour sa part, l'écrivaine et critique marocaine Zhor Kram a estimé que dans le contexte de la 4ème révolution numérique ou l'intelligence artificielle, l'ensemble des sociétés sont appelées à être des partenaires dans la production du savoir, notant que le monde est en phase de révision des concepts, notamment le concept de la littérature et celui de l'interaction dans la littérature numérique.
De son côté, Rachid Idrissi, professeur à la Faculté des lettres de Ben Msik, relevant de l'Université Hassan II de Casablanca, a mis l'accent sur la nécessité de dépasser la logique selon laquelle la littérature numérique s'inscrit en rupture avec la littérature traditionnelle en papier et que la littérature numérique a permis de mieux promouvoir l'écriture, appelant à s'abstenir à avancer ce genre de comparaison simpliste et à examiner la question en profondeur pour mieux la cerner.
Quant aux interventions des écrivains arabes, elles se sont articulées autour de la révolution numérique et de son impact sur la création notamment le roman.