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La situation précaire des enfants séquestrés, « victimes de toutes sortes d'esclavage et enrôlés dans les camps de Tindouf, au Sud de l'Algérie», a été vigoureusement dénoncée par des associations marocaines en Italie.
Dans un communiqué, largement repris par les médias italiens, le Réseau des Associations de la communauté marocaine en Italie (RACMI), a expliqué qu'il compte 'sensibiliser l'opinion publique italienne» et, si besoin en est, attirer son attention sur 'un phénomène très répandu» dans les camps, en l'occurrence l'esclavage des «Sahraouis de couleur» et des enfants séquestrés.
«Le phénomène de l'esclavage persiste toujours dans les camps de Tindouf où les principales victimes sont les Sahraouis de couleur, exploités, entre autres, dans les travaux domestiques et comme bergers», ont souligné ces associations dans ce communiqué relayé par les grandes agences italiennes et autres sites électroniques, à l'occasion de la Journée mondiale des droits de l'Homme.
Elles attirent également l'attention sur le phénomène des «enfants soldats» dans les camps ainsi que sur «la manipulation à des fins de propagande» d'enfants dont l'âge ne dépasse pas 13 ans.
Elles exhortent, par conséquent, la communauté internationale, le Parlement européen et surtout le Parlement italien à agir 'pour faire respecter les droits des personnes séquestrées à Tindouf» et condamner les violations des droits de l'Homme notamment des enfants dans les camps.







