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Ils ont également dénoncé les atteintes à la liberté syndicale ainsi que la situation chaotique que vivent les employés de ces collectivités notamment à cause du gel du dialogue sectoriel et de la mise sous le boisseau de leurs revendications.
Dans ce cadre, les deux bureaux nationaux ont appelé le ministère de l’Intérieur à ouvrir un dialogue avec les représentants des employés et à répondre favorablement à leurs revendications « légitimes », notamment celles concernant l’adoption d’un statut équitable et motivant ainsi que la mise en place d’une fondation nationale des œuvres sociales, tout en mettant l’accent sur la nécessité d’associer les syndicats à l’opérationnalisation de ces mesures.
Ils ont, par ailleurs, considéré la décision unitaire des deux syndicats comme un pas essentiel pour la défense des droits et des acquis des employés des collectivités territoriales, tout en appelant à l’adhésion à ce projet organisationnel unioniste qui est le fruit d’un long et profond débat.
Dans ce sens, ils ont appelé à la réunion d’un conseil national commun en vue de valider la décision des deux bureaux visant à intégrer le Syndicat démocratique des collectivités locales, et ce, le 12 janvier 2019 au siège central de la FDT à Casablanca.












