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Le documentariste et réalisateur algérien Djamel Khalfaoui est décédé vendredi après-midi à l'hôpital de Laghouat (400 km au sud d'Alger) d'une hémorragie cérébrale, a annoncé lundi à l'AFP sa soeur Soraya Khalfaoui. Il avait 48 ans.
"Mon frère est décédé d'une hémorragie cérébrale vendredi après-midi à l'hôpital de Laghouat où il avait été admis mercredi", a déclaré Soraya Khalfaoui actuellement en Algérie et jointe par téléphone. Selon elle, Djamel Khalfaoui avait été victime d'un malaise à la brigade de la gendarmerie de la ville où il s'était présenté pour porter plainte contre un homme qui lui avait "asséné un coup violent au thorax" après une dispute liée à un problème de circulation.
"Mon frère était en bonne santé et n'avait pas d'antécédents cardiaques", a-t-elle dit précisant que lors de son malaise "Djamel a présenté une tension artérielle très élevée (28)".
"Il est entré dans un coma profond après son admission à l'hôpital", a ajouté Soraya Khalfaoui, infirmière à l'hôpital la Salpêtrière à Paris où elle prépare également un diplôme de cadre de la santé.
Soraya Khalfaoui a ajouté que son frère était en Algérie depuis plusieurs semaines. Selon elle, Il venait de terminer le tournage de la deuxième partie de son film «Cheb Hasni, je vis encore », dont il avait réalisé l'unique et dernière interview filmée quelques mois avant l'assassinat du chanteur le 29 septembre 1994 par un groupe islamiste armé.
Djamel Khalfaoui, fils d'une famille d'émigrés originaire de Blida (sud d'Alger), installée à Bondy, en région parisienne, était un fan de Cheb Hasni, chanteur adulé en Algérie par la jeunesse.
Il avait réalisé auparavant un documentaire intitulé "Algérie: mémoire du raï 2000", abordant les origines du raï, genre né dans l'Ouest algérien. Le film évoque les grandes figures du raï notamment Khaled, Mami et feu Cheb Hasni. Djamal Khalafaoui a été également un acteur majeur de la vie culturelle de Bondy. Il y a organisé plusieurs concerts : Khaled, Idir, Cheikha Remiti, Zebda ou encore la Mano Negra, selon le Bondy Blog.
"Mon frère est décédé d'une hémorragie cérébrale vendredi après-midi à l'hôpital de Laghouat où il avait été admis mercredi", a déclaré Soraya Khalfaoui actuellement en Algérie et jointe par téléphone. Selon elle, Djamel Khalfaoui avait été victime d'un malaise à la brigade de la gendarmerie de la ville où il s'était présenté pour porter plainte contre un homme qui lui avait "asséné un coup violent au thorax" après une dispute liée à un problème de circulation.
"Mon frère était en bonne santé et n'avait pas d'antécédents cardiaques", a-t-elle dit précisant que lors de son malaise "Djamel a présenté une tension artérielle très élevée (28)".
"Il est entré dans un coma profond après son admission à l'hôpital", a ajouté Soraya Khalfaoui, infirmière à l'hôpital la Salpêtrière à Paris où elle prépare également un diplôme de cadre de la santé.
Soraya Khalfaoui a ajouté que son frère était en Algérie depuis plusieurs semaines. Selon elle, Il venait de terminer le tournage de la deuxième partie de son film «Cheb Hasni, je vis encore », dont il avait réalisé l'unique et dernière interview filmée quelques mois avant l'assassinat du chanteur le 29 septembre 1994 par un groupe islamiste armé.
Djamel Khalfaoui, fils d'une famille d'émigrés originaire de Blida (sud d'Alger), installée à Bondy, en région parisienne, était un fan de Cheb Hasni, chanteur adulé en Algérie par la jeunesse.
Il avait réalisé auparavant un documentaire intitulé "Algérie: mémoire du raï 2000", abordant les origines du raï, genre né dans l'Ouest algérien. Le film évoque les grandes figures du raï notamment Khaled, Mami et feu Cheb Hasni. Djamal Khalafaoui a été également un acteur majeur de la vie culturelle de Bondy. Il y a organisé plusieurs concerts : Khaled, Idir, Cheikha Remiti, Zebda ou encore la Mano Negra, selon le Bondy Blog.