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A en croire les syndicalistes, le ministère de l'Agriculture et de la Pêche maritime a pris des engagements relatifs à la gestion de la situation professionnelle des fonctionnaires en toute transparence qui garantisse l'égalité des chances pour l'accès aux postes de responsabilité et l'ajustement de la mobilité des responsables selon les procédures administratives légales en vigueur. Mettre fin à l'injustice qui touche les contractuels scientifiques et rendre justice aux fonctionnaires chargés de lutter contre la pêche illicite en les indemnisant des heures supplémentaires et garantir leur sécurité font également partie des engagements auquel le Département de la pêche maritime a tourné le dos.
Ainsi, les désignations aux postes de responsabilité sont-ils désormais gérées selon le bon vouloir de l'administration et les relations de favoritisme et de clientélisme. La mobilité des responsables des services extérieurs se fait donc dans l'anarchie et sans respect des délais légaux outre le fait que les indemnités allouées aux auxiliaires de la police de la mer sont en-deçà des attentes.
A ce propos, les syndicats des fonctionnaires dénoncent et condamnent vigoureusement l'indifférence de l'administration et son manque d'intérêt à l'égard du personnel de son département. Ils mettent en garde les responsables contre les conséquences de leur politique de marginalisation des ressources humaines.
Ils imputent également la responsabilité de la dégradation du climat de tension au sein du secteur de la pêche au ministre en personne qu'ils considèrent comme le premier responsable du secteur à fermer la porte au dialogue.