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Aux journalistes qui lui demandaient si les manifestations étaient une réation appropriée à l'élection de Donald Trump, il a répondu: "Oui, absolument". Des manifestants ont à nouveau protesté vendredi dans une vingtaine de villes américaines et prévoyaient de le faire encore ce week-end contre l'élection à la présidence du milliardaire.
Robert De Niro n'avait pas mâché ses mots à l'égard du candidat républicain pendant la campagne, le traitant de "porc" et d'"idiot" dans une vidéo très partagée sur les réseaux sociaux. De Niro avait même dit vouloir "flanquer son poing à la figure" du magnat de l'immobilier en raison de ses déclarations grossières sur les femmes. Mais il a admis dans le talk-show "Jimmy Kimmel Live!" mercredi qu'il ne pouvait "plus le faire maintenant" que Trump avait été élu. "Il est président, et je dois respecter cette fonction. (...) Voyons ce qu'il fait et s'il met en œuvre" ses promesses de campagne, avait-il déclaré. Mais s'il souhaite quitter les Etats-Unis, Robert De Niro a une option: la ville du sud de l'Italie dont ses grands-parents sont originaires a proposé de l'accueillir. "Si, après la déception (de l'élection) de Trump, il veut venir se réfugier ici, il est le bienvenu", a déclaré le maire de Ferrazzano, Antonio Cerio.