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La secrétaire d’Etat américaine doit participer à la réunion des 28 pays de l’Otan mardi et mercredi à Bruxelles.
La Turquie, qui a officiellement formulé cette demande pour renforcer ses capacités de défense aérienne, soutient les rebelles tentant de renverser le président syrien Bachar Al Assad.
«Nous examinons tous de manière positive (la requête turque)», a dit un responsable du Département d’Etat en vue de la tournée de Hillary Clinton en Europe, qui a débuté à Prague.
«(Nous) espérons que l’Otan sera en situation de répondre de manière positive (...) et que les trois pays contributeurs envisagés à l’heure actuelle - les Etats-Unis, l’Allemagne et les Pays-Bas - seront en situation de fournir une contribution», a-t-il ajouté. Ce responsable ne s’attend toutefois pas à ce que tous les détails de ce déploiement soient réglés dès cette semaine, notamment sur le nombre de missiles et les sites et la durée de déploiement.
Le déploiement effectif sera «au moins une question de semaines» car l’examen des sites se poursuit et que les décisions éventuellement prises à Bruxelles devront ensuite être avalisées sur le plan national, a-t-il ajouté.
Ce projet ne constitue en aucune manière «un mouvement inexorable vers l’instauration d’une zone d’exclusion aérienne» dans le nord de la Syrie pour y favoriser les rebelles, a assuré ce responsable.
La question d’une éventuelle «no-fly zone» sera abordée dans un autre cadre, celui de la réunion du groupe des Amis de la Syrie prévue le 12 décembre à Marrakech.