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			 Cette source a cité vendredi un ordre faxé aux autorités de l'immigration selon lequel "les autorités de l'immigration ont été alertées pour que Daniele Mancini (l'ambassadeur d'Italie) ne puisse partir sans autorisation".
La plus haute juridiction du pays a rendu jeudi une décision indiquant que Daniele Mancini ne devait pas quitter le territoire d'ici à lundi, date de la prochaine audience sur cette affaire.
Les deux militaires, chargés de la sécurité sur un pétrolier italien, sont accusés d'avoir tué deux pêcheurs qu'ils disent avoir pris pour des pirates au large des côtes du Kerala (sud-ouest) le 15 février 2012. Ils étaient rentrés en Italie le 23 février dernier après que la Cour suprême indienne eut décidé qu'ils pouvaient retourner dans leur pays pour un mois à l'occasion des législatives, puisque l'Italie n'autorise par le vote par voie postale. Mais Rome a indiqué lundi qu'ils ne reviendraient pas en Inde.
La décision de la Cour suprême semble contrevenir aux normes diplomatiques garantissant la liberté de mouvement des ambassadeurs étrangers.
Selon l'article 29 de la convention de Vienne, qui régit les relations diplomatiques, les diplomates ne doivent pas "être astreints à toute forme d'arrestation ou de détention".
Depuis plus d'un an, cette affaire empoisonne les relations entre New Delhi et Rome, qui estime que le cas de ces deux hommes ne relève pas de la justice indienne, les faits s'étant produits dans les eaux internationales.

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