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"J'ai adressé vendredi 20 juillet à Vincent Crase un courrier lui indiquant que La République en marche lançait une procédure de licenciement à son encontre fondée sur le trouble objectif au fonctionnement de l'association et sur l'atteinte portée à son image", a ajouté Christophe Castaner, qui a dit assumer "un risque de contentieux devant les prud'hommes". Mis en examen le 22 juillet pour "violences en réunion", "immixtion dans l'exercice d'une fonction publique" et "port prohibé d'arme", Vincent Crase a été convoqué ce mardi par sa hiérarchie dans le cadre de cette procédure de renvoi. Jusque-là, il occupait selon Christophe Castaner "un poste de responsable adjoint sûreté et sécurité (...) sous l'autorité d'un chef de sécurité".
L'Elysée, qui faisait ponctuellement appel à lui, a mis fin à cette collaboration. La controverse a démarré avec une vidéo tournée le 1er mai sur la place de la Contrescarpe (Ve arrondissement), sur laquelle on peut voir Alexandre Benalla et Vincent Crase, entourés de CRS, en train de malmener deux jeunes gens. Libération, Mediapart et franceinfo ont publié depuis de nouveaux documents sur lesquels on peut apercevoir deux hommes portant les mêmes vêtements prendre part aux opérations de la police le même jour, cette fois dans le Jardin des plantes.











