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Le coup d’envoi du 18ème Festival international du cinéma méditerranéen de Tétouan a été donné samedi soir en présence des autorités locales, des personnalités du monde du cinéma et des arts, de l’équipe du Festival et de nombreux autres invités.
Au cours de cette soirée très animée et festive, les principaux intervenants ont salué la spécificité et l’ouverture de la ville de Tétouan sur un cinéma qui témoigne de la diversité et de la richesse culturelle des pays du pourtour méditerranéen. Et exprimé leur volonté de veiller à sa pérennité.
Moment fort de cette soirée inaugurale, la remise des trophées à trois figures du cinéma méditerranéen pour leur longue et brillante carrière : le Marocain Mohamed Ismail (natif de Tétouan), l’Italien Daniele Luchetti et l’Espagnole Iciar Bollain.
Douze longs métrages dont deux marocains, quinze courts métrages et douze documentaires produits entre 2010 et 2012 et reflétant justement la diversité et la richesse culturelles et cinématographiques de cette région sont en compétition officielle. Ils seront projetés tout au long de cette manifestation, considérée comme le principal rendez-vous cinématographique de la ville.
Sont en lisse dans la catégorie long métrage, les films «Paradis des bêtes» (Estelle Larrivaz, France), «Io sono Lì» (Andrea Segre, Italie), «Tannoura Maxi» (Joe Bou Eid, Liban), «La kriptonite nella borsa» (Ivan Cotroneo, Italie), «La sombra del sol» (David Blanco, Espagne), «L’Ennemi» (Dejan Zecevic, Serbie), «Les mains rudes» (Mohamed Asli, Maroc), «Exit Caire» (Hesham Issawi, Egypte), «Habibi Rasak Kharbane» (Youssef Susane, Palestine-USA–Hollande), «Tungsten» (Giorgos Georgopoulos, Grèce), «Mort à vendre» (Faouzi Bensaïdi, Maroc) et «Normal» (Merzzak Allouache, France- Algérie).
Outre les projections de films en et hors compétition, cette édition propose aussi des débats autour de « Tétouan, ville méditerranéenne par excellence » et des «Prémices du printemps cinématographique arabe », l’occasion pour les participants d’apprécier la richesse d’une ville ancestrale et au patrimoine civilisationnel exceptionnel et de braquer les projecteurs sur les productions des pays du Printemps arabe. Ces rencontres auront lieu respectivement les 28 et 29 mars, à la Galerie Mekki Meghara.
Figurent également au programme de cette manifestation, des stages et ateliers. Animé par Mohamed Mrabet Khaïreddine, le premier atelier a pour thème « Analyser des séquences filmiques ». Le second, animé par Mohamed Chrif Tribak, est axé sur l’«Ecriture et réalisation de courts métrages de fiction ».
Un colloque international devait avoir eu lieu dimanche sur le thème « Cinéma à l’ère du numérique ».
Soulignons qu’en débit de la polémique suscitée par des propos indécents d’un conseiller de la commune à son encontre et l'arrêt de la subvention accordée jusque-là par la commune urbaine, le Festival a bel et bien eu lieu.
Fondé à l’initiative de l'Association des amis de cinéma de Tétouan, le Festival international du cinéma méditerranéen se poursuit jusqu'au 31 mars à Tétouan.
Au cours de cette soirée très animée et festive, les principaux intervenants ont salué la spécificité et l’ouverture de la ville de Tétouan sur un cinéma qui témoigne de la diversité et de la richesse culturelle des pays du pourtour méditerranéen. Et exprimé leur volonté de veiller à sa pérennité.
Moment fort de cette soirée inaugurale, la remise des trophées à trois figures du cinéma méditerranéen pour leur longue et brillante carrière : le Marocain Mohamed Ismail (natif de Tétouan), l’Italien Daniele Luchetti et l’Espagnole Iciar Bollain.
Douze longs métrages dont deux marocains, quinze courts métrages et douze documentaires produits entre 2010 et 2012 et reflétant justement la diversité et la richesse culturelles et cinématographiques de cette région sont en compétition officielle. Ils seront projetés tout au long de cette manifestation, considérée comme le principal rendez-vous cinématographique de la ville.
Sont en lisse dans la catégorie long métrage, les films «Paradis des bêtes» (Estelle Larrivaz, France), «Io sono Lì» (Andrea Segre, Italie), «Tannoura Maxi» (Joe Bou Eid, Liban), «La kriptonite nella borsa» (Ivan Cotroneo, Italie), «La sombra del sol» (David Blanco, Espagne), «L’Ennemi» (Dejan Zecevic, Serbie), «Les mains rudes» (Mohamed Asli, Maroc), «Exit Caire» (Hesham Issawi, Egypte), «Habibi Rasak Kharbane» (Youssef Susane, Palestine-USA–Hollande), «Tungsten» (Giorgos Georgopoulos, Grèce), «Mort à vendre» (Faouzi Bensaïdi, Maroc) et «Normal» (Merzzak Allouache, France- Algérie).
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