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La Fondation ONA et le Centre des études andalouses organisent une conférence avec le Pr. Ibrahim Kadiri Boudchich, le mercredi 20 octobre courant à 18h30, à la Villa des Arts de Rabat. « L'objectif de cette conférence est de jeter la lumière sur le rôle de l'Andalousie dans l'histoire de la paix dans la Méditerranée et le dialogue des civilisations », soulignent les organisateurs. Et d’ajouter que dans ce contexte, « les données historiques confirment que malgré les conflits qu’elle a connus, l'Andalousie à l'époque califale (Xème siècle), représente un modèle de paix et un pont essentiel dans le dialogue des civilisations ».
A partir de cette hypothèse, le Pr Kadiri tentera d'analyser la politique pacifique andalouse en deux axes. « D’abord sur la paix sociale qui régnait à l'intérieur de l'Andalousie à l'époque d'Abdul Rahman III. Ce dernier a pu créer une atmosphère de tolérance et de coexistence entre toutes les composantes de la société andalouse et les différentes religions. Ensuite, sur la paix extérieure qui avait pour but la consolidation des relations amicales et les traités de paix avec le monde chrétien en Europe occidentale et les Byzantins à l'Est de la Méditerranée, grâce à l'intensification de l'activité diplomatique et les échanges culturels, notamment la traduction qui représentait un aspect d'acculturation et de dialogue des civilisations », précise-t-on à la Villa.
A partir de cette hypothèse, le Pr Kadiri tentera d'analyser la politique pacifique andalouse en deux axes. « D’abord sur la paix sociale qui régnait à l'intérieur de l'Andalousie à l'époque d'Abdul Rahman III. Ce dernier a pu créer une atmosphère de tolérance et de coexistence entre toutes les composantes de la société andalouse et les différentes religions. Ensuite, sur la paix extérieure qui avait pour but la consolidation des relations amicales et les traités de paix avec le monde chrétien en Europe occidentale et les Byzantins à l'Est de la Méditerranée, grâce à l'intensification de l'activité diplomatique et les échanges culturels, notamment la traduction qui représentait un aspect d'acculturation et de dialogue des civilisations », précise-t-on à la Villa.