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Lors de cette soirée poétique, Zahi Ouahbi, né à Aïnata au Sud-Liban (1964), a donné libre cours à sa verve habituelle pour réciter ses poèmes traitant des supplices du prisonnier.
A travers la lecture de ses recueils, le poète a partagé avec le public les souffrances qu’il a endurées dans les prisons israéliennes dans les années 1980, mais également les tourments des mères de prisonniers.
Le public, composé principalement de Palestiniens, Arabes et étrangers qui participent au Congrès international de soutien à la cause des prisonniers palestiniens, a également apprécié la prestation de Marcel Khalifa.
L’artiste engagé, qui a chanté pour la cause palestinienne dans un concert acoustique sans être accompagné de sa troupe, a fredonné en complicité avec le public, ses célèbres “Mountassiba Al Kamati Amchi” et “Ana youssouf ya Abi”, entre autres partitions.La poésie engagée est une nécessité vitale qui n’a jamais perdu son public, a confié, à cette occasion à la MAP, le poète palestinien Samih Al Kassem, estimant que ces recueils reflètent, en toute sincérité la réalité politique, sociale et culturelle.
Samih El Kassem a précisé que la poésie engagée est indispensable en cette conjoncture marquée par l’occupation en Palestine, en Irak ainsi qu’à Sebta et Mellilia, soulignant que cet art est une nécessité et non un choix.
Le poète est un citoyen, comme les autres, a-t-il dit, relevant qu’il est de son devoir de défendre les causes justes notamment celle des prisonniers.
Cette soirée a été organisée en marge des travaux du Congrès international de soutien à la cause des prisonniers palestiniens qui se tient à Rabat sous le signe “Libération des prisonniers palestinien, une responsabilité internationale”.
La rencontre est initiée notamment par l’Association marocaine pour le soutien de la lutte palestinienne, le Club des prisonniers palestiniens, l’Agence Bayt Mal Al Qods, l’ambassade de Palestine au Maroc, l’Association des barreaux du Maroc et l’Association marocaine des droits humains.