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Trois jours durant, la ville de Marrakech a connu l'organisation de la deuxième édition de "Marrakech art faire"; édition qui a connu une certaine affluence.
En effet, les organisateurs ont tenu à innover cette année en invitant plus de galeries que l'année dernière et en décernant le premier prix à une Marocaine qui vit à Marseille après délibération d'un jury composé de cinq personnes.
C’est Chourouk Hriech qui a été choisie par le jury et qui pourra, de ce fait, préparer une œuvre pour le prochain salon grâce à son prix d’un montant de 150.000 dh.
Pour le reste, les exposants marocains et étrangers ont eu l'occasion d'échanger les expériences surtout qu'ils appartiennent à des horizons différents. L'essentiel du salon a eu lieu à l'hôtel Saâdi, cela n'a pas empêché que d'autres lieux abritent des expositions afin de permettre à un large public de découvrir des œuvres exposées. C'est l'ancienne agence de la Banque du Maroc à Jamaâ El Fna qui a abrité une exposition regroupant 18 artistes dont des Irakiens, Algériens, Egyptiens, Saoudiens et Libanais.
Ces artistes avaient comme point commun le fait de s'exprimer à travers les médias de l'image, qu'il s'agisse de vidéo ou d'art photographique. Cette exposition avait d'ailleurs pour thème "Images affranchies", ce qui en dit long sur les préoccupations des artistes participants.
Pour le commissaire de cette exposition, Brahim Alaoui, ces images "nous dévoilent l'intime, questionnent l'histoire, libèrent l'imagination et s'ouvrent aux fractures du monde".
Le Printemps arabe était très présent aussi bien au niveau des discussions et débats qu'au niveau des œuvres exposées.
Par ailleurs, plusieurs artistes qui ont participé au Salon étaient présents lors de la table ronde organisée sur le thème. L’art contemporain et les nouvelles visualités arabes". On s'est d'ailleurs demandé si les événements que connaît le monde arabe allaient influencer le mouvement artistique. L'artiste saoudien, Faissal Samra, ne partageait pas cette idée. Pour lui, "une œuvre doit être créée dans l'absolu et non répondre à un contexte particulier, sinon, on s'éloigne de l'art".
Les participants se sont donné rendez-vous l'année prochaine alors que les organisateurs, eux, réfléchissent déjà à la prochaine édition et aux nouveautés qu'elle devra apporter.
Rappelons que pour cette deuxième édition, la Turquie était l'invitée d'honneur.
En effet, les organisateurs ont tenu à innover cette année en invitant plus de galeries que l'année dernière et en décernant le premier prix à une Marocaine qui vit à Marseille après délibération d'un jury composé de cinq personnes.
C’est Chourouk Hriech qui a été choisie par le jury et qui pourra, de ce fait, préparer une œuvre pour le prochain salon grâce à son prix d’un montant de 150.000 dh.
Pour le reste, les exposants marocains et étrangers ont eu l'occasion d'échanger les expériences surtout qu'ils appartiennent à des horizons différents. L'essentiel du salon a eu lieu à l'hôtel Saâdi, cela n'a pas empêché que d'autres lieux abritent des expositions afin de permettre à un large public de découvrir des œuvres exposées. C'est l'ancienne agence de la Banque du Maroc à Jamaâ El Fna qui a abrité une exposition regroupant 18 artistes dont des Irakiens, Algériens, Egyptiens, Saoudiens et Libanais.
Ces artistes avaient comme point commun le fait de s'exprimer à travers les médias de l'image, qu'il s'agisse de vidéo ou d'art photographique. Cette exposition avait d'ailleurs pour thème "Images affranchies", ce qui en dit long sur les préoccupations des artistes participants.
Pour le commissaire de cette exposition, Brahim Alaoui, ces images "nous dévoilent l'intime, questionnent l'histoire, libèrent l'imagination et s'ouvrent aux fractures du monde".
Le Printemps arabe était très présent aussi bien au niveau des discussions et débats qu'au niveau des œuvres exposées.
Par ailleurs, plusieurs artistes qui ont participé au Salon étaient présents lors de la table ronde organisée sur le thème. L’art contemporain et les nouvelles visualités arabes". On s'est d'ailleurs demandé si les événements que connaît le monde arabe allaient influencer le mouvement artistique. L'artiste saoudien, Faissal Samra, ne partageait pas cette idée. Pour lui, "une œuvre doit être créée dans l'absolu et non répondre à un contexte particulier, sinon, on s'éloigne de l'art".
Les participants se sont donné rendez-vous l'année prochaine alors que les organisateurs, eux, réfléchissent déjà à la prochaine édition et aux nouveautés qu'elle devra apporter.
Rappelons que pour cette deuxième édition, la Turquie était l'invitée d'honneur.