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La province de Chtouka Ait-Baha, dont l'économie est articulée essentiellement autour de l'agriculture, se penche actuellement sur l'élaboration d'un plan pour assurer la collecte et la gestion des déchets engendrés par cette activité.
L'Office régional de mise en valeur agricole vient de soumettre récemment aux autorités locales une étude technique relative à ce plan. L'étude est divisée en plusieurs volets, dont un diagnostic de l'état des lieux et l'impact des déchets de l'agriculture sur la santé et l'environnement, un plan pour le traitement et la gestion de ces déchets, et un montage financier avec un planning de mise en œuvre.
Avec ses 3.523 km2 de terres fertiles, la province de Chtouka Ait-Baha est considérée comme le centre agricole de la région. L'économie locale se base sur l'activité irriguée avec une superficie en plaine de Massa, d'environ 20.000 hectares. Une bonne partie de l'agriculture moderne qui n'a cessé de s'imposer depuis des années, est tournée vers l'export (agrumes et primeurs).
Le secteur génère toutefois des déchets importants, comme les plastiques et les produits chimiques, dont l'impact est nocif pour le sol, l'eau, et la santé des habitants. Ils peuvent aussi s'avérer, en l'absence d'un plan de collecte et de gestion, compromettant pour la compétitivité et la durabilité du système agricole local.
L'Office régional de mise en valeur agricole vient de soumettre récemment aux autorités locales une étude technique relative à ce plan. L'étude est divisée en plusieurs volets, dont un diagnostic de l'état des lieux et l'impact des déchets de l'agriculture sur la santé et l'environnement, un plan pour le traitement et la gestion de ces déchets, et un montage financier avec un planning de mise en œuvre.
Avec ses 3.523 km2 de terres fertiles, la province de Chtouka Ait-Baha est considérée comme le centre agricole de la région. L'économie locale se base sur l'activité irriguée avec une superficie en plaine de Massa, d'environ 20.000 hectares. Une bonne partie de l'agriculture moderne qui n'a cessé de s'imposer depuis des années, est tournée vers l'export (agrumes et primeurs).
Le secteur génère toutefois des déchets importants, comme les plastiques et les produits chimiques, dont l'impact est nocif pour le sol, l'eau, et la santé des habitants. Ils peuvent aussi s'avérer, en l'absence d'un plan de collecte et de gestion, compromettant pour la compétitivité et la durabilité du système agricole local.
