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Plusieurs organismes internationaux ont également annoncé l'envoi de représentants, comme l'Aladi, le Mercosur, l'Unasur ou l'OEA, selon le ministre des Affaires étrangères vénézuélien, Elias Jaua, qui venait de recevoir le président de Guinée équatoriale, Teodore Obiang.
Les présidents de deux pays mis au ban par une grande partie de communauté internationale mais qui ont été soutenus par Hugo Chavez, l'Iranien Ahmadinejad et le Bélarusse Loukachenko, devaient faire une apparition remarquée en l'honneur de cette figure de la gauche radicale qui avait également tissé des liens diplomatiques avec la Syrie de Bachar Al-Assad et la Libye à l'époque de Mouammar Kadhafi .
Trois dirigeants latino-américains considérés comme ayant été très proches d'Hugo Chavez étaient présents depuis mercredi au Venezuela. Il s'agit d'Evo Morales (Bolivie), de Christina Kirchner (Argentine) et de José Mujica (Uruguay). Mme Kirchner a toutefois quitté le pays jeudi, laissant sur place son ministre des Affaires étrangères.
D'autres présidents de pays du continent, tous bords confondus, avaient confirmé leur présence. Ce sont notamment Enrique Pena Nieto (Mexique), Dilma Rousseff (Brésil), Juan Manuel Santos (Colombie), Rafael Correa (Equateur), Sebastian Pinera (Chili), Ollanta Humala (Pérou), Daniel Ortega (Nicaragua), Ricardo Martinelli (Panama), Mauricio Funes (Salvador) et Otto Perez (Guatemala).
Parmi les Caribéens, les président haïtien Michel Martelly et dominicain Danilo Medina ont annoncé leur déplacement.