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Sélectionné 46 fois en équipe de France de rugby, cinq fois capitaine, Marc Cécillon était un gros gabarit respecté. En 2003, il met fin à sa carrière sportive, sombre dans l’alcoolisme et la dépression. Un an après, c’est à la rubrique « faits divers » qu’il apparaît pour le meurtre de son épouse. Le 7 août 2004, Marc Cécillon et sa femme participent à une fête réunissant une soixantaine de personnes chez des amis, à Saint-Savin, en Charente-Maritime. Alcoolisé, l’ancien sportif est prié de quitter les lieux suite à une altercation. Peu après, l’homme revient armé d’un revolver 357 Magnum et tire à cinq reprises en direction de sa compagne Chantal, secrétaire médicale avec qui il était marié depuis 24 ans. A l’époque du drame celle-ci avait manifesté l’intention de divorcer, ne supportant plus le comportement de son époux, à qui elle reprochait sa violence exacerbée et un harcèlement jaloux.
Condamné pour assassinat puis meurtre
Fin 2006, les jurés des assises de l’Isère retiennent la préméditation et condamnent Marc Cécillon à 20 ans de réclusion pour l’assassinat de sa femme. A l’annonce du verdict, Angélique, la fille aînée de l’accusé, qui avait fait appel à l’indulgence des jurés, a fondu en larmes avant de se jeter en pleurs au cou de celui qui a tué sa mère. Sa soeur, assise à côté d’elle, stoïque, a détourné son regard vers le sol. De ce premier procès, on retiendra les regrets de l’accusé et surtout la détresse de ses filles qui n’avaient pas revu leur père depuis le drame. Plusieurs fois, Marc Cécillon leur a demandé pardon.
L’ancien rugbyman fait appel et écope, le 3 décembre 2008, d’une peine moins lourde qu’en première instance : 14 ans. Cette fois, les jurés de la Cour d’appel du Gard n’ont pas retenu la préméditation.
Après sept ans d’emprisonnement, l’ancien sportif a bénéficié en 2011 d’une mesure de liberté conditionnelle. Fin janvier 2014, l’ancien joueur du CS Bourgoin-Jallieu a assigné ses deux filles en justice dans une affaire de litige liée à la succession de sa femme. Il leur reproche d’avoir mal géré les comptes de la famille pendant qu’il était incarcéré.
Condamné pour assassinat puis meurtre
Fin 2006, les jurés des assises de l’Isère retiennent la préméditation et condamnent Marc Cécillon à 20 ans de réclusion pour l’assassinat de sa femme. A l’annonce du verdict, Angélique, la fille aînée de l’accusé, qui avait fait appel à l’indulgence des jurés, a fondu en larmes avant de se jeter en pleurs au cou de celui qui a tué sa mère. Sa soeur, assise à côté d’elle, stoïque, a détourné son regard vers le sol. De ce premier procès, on retiendra les regrets de l’accusé et surtout la détresse de ses filles qui n’avaient pas revu leur père depuis le drame. Plusieurs fois, Marc Cécillon leur a demandé pardon.
L’ancien rugbyman fait appel et écope, le 3 décembre 2008, d’une peine moins lourde qu’en première instance : 14 ans. Cette fois, les jurés de la Cour d’appel du Gard n’ont pas retenu la préméditation.
Après sept ans d’emprisonnement, l’ancien sportif a bénéficié en 2011 d’une mesure de liberté conditionnelle. Fin janvier 2014, l’ancien joueur du CS Bourgoin-Jallieu a assigné ses deux filles en justice dans une affaire de litige liée à la succession de sa femme. Il leur reproche d’avoir mal géré les comptes de la famille pendant qu’il était incarcéré.