La politique serait “l’art”, croit-on savoir, d’organiser et de gouverner les affaires publiques. Un homme politique, jure un petit dico, est censé être un homme manifestant une bonne dose d’habileté et agissant de manière très avisée. Où en est-on de tout cela, alors que les prochaines communales n’en sont qu’à la phase de dépôt des candidatures?
Habiles et avisés, vous avez dit? Ils le sont un peu trop ceux qui, en guise de projet sociétal et de programme à même de métamorphoser tout un pays comme ils se plaisent à le dire et à le répéter, ont plutôt innové et excellé dans l’art de «la débauche». Tous les moyens sont donc bons pour faire dans le préfabriqué, pour faire du neuf avec du vieux, du périmé, ces «politiques» caméléons qui changent de camp et de couleur au gré des avantages du moment et d’intérêts trop particuliers.
Et au lieu de servir l’exemple de leur sagesse supposée, les chantres du renouveau tous azimuts se découvrent une vocation de juristes purs et durs confectionnant, à leur mesure, ce pauvre article 5 qu’ils cherchent à vider de tout son sens.
Il doit être plus habile et mieux avisé, l’ex-bourreau de triste renommée qui, depuis qu’il tente sa mue pour se positionner ailleurs que dans les geôles où il sévissait, n’a pas oublié d’éclairer ses sbires qui viennent de s’illustrer près de Moulay Yaacoub, en se déchaînant sur la voiture de Mohamed Chiguer, candidat de l’USFP aux prochaines communales.
Habiles et avisés, vous avez dit? Ils le sont un peu trop ceux qui, en guise de projet sociétal et de programme à même de métamorphoser tout un pays comme ils se plaisent à le dire et à le répéter, ont plutôt innové et excellé dans l’art de «la débauche». Tous les moyens sont donc bons pour faire dans le préfabriqué, pour faire du neuf avec du vieux, du périmé, ces «politiques» caméléons qui changent de camp et de couleur au gré des avantages du moment et d’intérêts trop particuliers.
Et au lieu de servir l’exemple de leur sagesse supposée, les chantres du renouveau tous azimuts se découvrent une vocation de juristes purs et durs confectionnant, à leur mesure, ce pauvre article 5 qu’ils cherchent à vider de tout son sens.
Il doit être plus habile et mieux avisé, l’ex-bourreau de triste renommée qui, depuis qu’il tente sa mue pour se positionner ailleurs que dans les geôles où il sévissait, n’a pas oublié d’éclairer ses sbires qui viennent de s’illustrer près de Moulay Yaacoub, en se déchaînant sur la voiture de Mohamed Chiguer, candidat de l’USFP aux prochaines communales.
