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Les lecteurs comme les critiques ont été unanimes à souligner la valeur littéraire du dernier roman de Mohamed Achaâri .
Le roman (333 pages, petit format) est, selon son auteur, le prolongement de son premier roman «Janoub Arrouh» (1996). Il s’agit d’une plongée romanesque qui frise d’ailleurs l’analyse sociologique, à travers laquelle l’auteur retrace l’histoire tragique de trois générations de la famille Al Firsioui.
Mohamed Achaâri avait expliqué lors d’une dédicace consacrée à son roman que «Dans +Al Quaouss Wa Al Faracha+, je présente le Maroc tel qu’il est vu et représenté par différents individus de divers horizons, un Maroc pluriel dans l’espace et le temps… C’est une vision de choses considérées par plusieurs comme futiles alors qu’elles constituent l’essence même de notre vie».
Parmi les personnages du roman, l’aïeul Mohammed Al Firsioui (guide aux ruines de Volubilis), son fils Youssef Al Firsioui (qui recherche la vérité sur la mort suspecte de sa mère allemande) et enfin, le petit-fils Yacine Al Firsioui, (obnubilé par la pensée obscurantiste).
Pour rappel, Mohamed Achaâri a publié plusieurs recueils de poésie et des romans notamment « Sahil El Khail Al Jariha » (le hennissement des chevaux blessés), « Yaoum Saab » (Une journée difficile) et Hikayat Sakhriya (Histoires drôles), des œuvres dont certaines ont été traduites en français, espagnol, russe et en hollandais.









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