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Des chercheurs et cadres relevant du département de la Culture de Rabat, Essaouira et Marrakech prendront part à cette rencontre qui se propose de dresser l’état des lieux du patrimoine culturel actuel au Maroc en vue d’explorer quelques pistes d’avenir à même de contribuer à la préservation de ce qui reste de cette grande richesse.
En plus d’être un motif de fierté et d’enracinement, le patrimoine culturel est aussi un capital susceptible de produire des richesses et de générer des emplois. «Or, force est de constater qu’à ce jour, le patrimoine notamment architectural et muséal de notre pays demeure en deçà des potentialités qu’il recèle. Des décennies durant, il est resté dépendant du Protectorat qu’il a créé par dahirs de classements successifs et par acquisitions conséquentes ou parfois fabrications de pièces de musées en copiant l’ancien», observent les organisateurs de cette importantes rencontre. «Le patrimoine est ainsi demeuré un fardeau dont le Maroc indépendant n’a pas vraiment su que faire. Soustrait au regard de la société malgré l’ouverture gratuite des monuments et des musées les vendredis, il est resté sourd aux transformations socio-économiques et politiques environnantes», souligne-t-on.