
Autres articles
-
Ahlam Aboulamal, Une vie rythmée par le monde des arts et du spectacle
-
La Marocaine Nora Fatehi, première arabo-africaine à franchir le cap du milliard de vues sur Youtube
-
La femme marocaine et le théâtre
-
Inauguration à Marrakech de l’ exposition “Le Maroc : Richesses et diversités, regards sur notre patrimoine ”
-
Saad Lamjarred renvoyé aux assises en France pour viol aggravé
«Ce soir-là et les jours d'après» devait être diffusé l'an dernier. Mais à l'époque les associations de victimes avaient lancé une pétition, jugeant qu'il était encore trop tôt. "On n’avait peut-être pas suffisamment soigné la communication", reconnaît Antoine Boilley, le secrétaire général des antennes de France Télévisions, sur franceinfo. "On a alors décidé de prendre le temps de dialoguer et de montrer le film aux associations", qui ont finalement donné leur accord. La fiction n'est pas centrée sur les attentats mais sur l'après et sur la reconstruction des victimes. La diffusion sera suivie d'un débat animé par Julian Bugier car "l'idée était d'accompagner le film et de créer autour de lui une caisse de résonnance pour pouvoir mieux éclairer un certain nombre de problématiques clés pour les associations, comme la prise en charge des victimes", explique Antoine Boiley.
L'histoire raconte la vie d’Irène, une habitante du quartier du Bataclan, incarnée par Sandrine Bonnaire. En sortant de chez elle, le soir du 13 novembre, Irène rencontre des gens apeurés, blessés, qui fuient la fusillade. Elle les met alors à l’abri, les réconforte et les soigne. A partir de là va naître un lien indéfectible entre les protagonistes, qui constitue le fil rouge de la fiction. "On voulait raconter ce mouvement de solidarité et d’entraide aux victimes", analyse Antoine Boilley.
Diffusée dans le cadre des "Mercredis de la vie" de France 2, une partie de la fiction relève de l'invention. Certains personnages n'ont jamais existé et une histoire extra conjugale née de cette soirée des attentats du Bataclan vient ponctuer le téléfilm. Une volonté de la chaîne qui se targue "de pouvoir éclairer ces questions au travers de la fiction qui permet d’aborder des sujets de société complexes pour mieux les interroger."
L'histoire raconte la vie d’Irène, une habitante du quartier du Bataclan, incarnée par Sandrine Bonnaire. En sortant de chez elle, le soir du 13 novembre, Irène rencontre des gens apeurés, blessés, qui fuient la fusillade. Elle les met alors à l’abri, les réconforte et les soigne. A partir de là va naître un lien indéfectible entre les protagonistes, qui constitue le fil rouge de la fiction. "On voulait raconter ce mouvement de solidarité et d’entraide aux victimes", analyse Antoine Boilley.
Diffusée dans le cadre des "Mercredis de la vie" de France 2, une partie de la fiction relève de l'invention. Certains personnages n'ont jamais existé et une histoire extra conjugale née de cette soirée des attentats du Bataclan vient ponctuer le téléfilm. Une volonté de la chaîne qui se targue "de pouvoir éclairer ces questions au travers de la fiction qui permet d’aborder des sujets de société complexes pour mieux les interroger."