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La sortie du prochain film de Jean Dujardin, OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire, le troisième volet de la saga, ne cesse d'être décalée à cause de l'épidémie de Covid-19. L'acteur pousse d'ailleurs régulièrement des coups de gueule contre les mesures du gouvernement à ce sujet. En attendant la réouverture des salles, il tease sur Instagram ses prochains projets. C'est ainsi que les internautes ont pu le découvrir dansla peau d'un ex-président de la République. Le jeune papa pour la seconde fois - avec son épouse Nathalie Péchalat - ne ménage en tout cas pas sa forme. Ce dingue de sport et de sensations fortes a d'ailleurs accordé une interview à Running heroes, la déclinaison du magazine Society dédiée au footing. Dans cet entretien, il revient sur ce qui le rendait fou durant les tournages d'Un gars, une fille, la série de France 2 qui l'a révélé au grand public.
Jean Dujardin ne supportait pas l'enfermement impliqué par les scènes du quotidien qu'il tournait avec sa partenaire à l'écran, puis à la vie, Alexandra Lamy. "C'était l'enfer", balance celui qui campe Hubert Bonisseur de La Bath. "C'est pour cela qu'à la troisième saison, on a négocié des voyages et des extérieurs, après trois ans de cuisine et de salle de bains. Quand, en une journée, tu fais trois épisodes dans un lieu et que tu rentres te coucher le soir chez toi, je peux te dire que tu ne trouves pas le sommeil tout de suite", explique-t-il.
Jean Dujardin ne supportait pas l'enfermement impliqué par les scènes du quotidien qu'il tournait avec sa partenaire à l'écran, puis à la vie, Alexandra Lamy. "C'était l'enfer", balance celui qui campe Hubert Bonisseur de La Bath. "C'est pour cela qu'à la troisième saison, on a négocié des voyages et des extérieurs, après trois ans de cuisine et de salle de bains. Quand, en une journée, tu fais trois épisodes dans un lieu et que tu rentres te coucher le soir chez toi, je peux te dire que tu ne trouves pas le sommeil tout de suite", explique-t-il.