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SAR la Princesse Lalla Hasnaa offre à Bakou une cérémonie de thé en l’honneur de personnalités féminines azerbaïdjanaises du monde de la culture et des arts
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Tenue à Dakhla de la 2ème édition du Colloque sur la pédagogie de la culture hassanie
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Colloque africain sur les mutations intellectuelles et le développement à Laâyoune
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L’hommage de la SNRT à des pionniers des ondes : Pour relier le passé éternel au présent revivifié
Cette nouvelle collection est composée de deux ensembles. Le premier constitue une transition sans rupture avec la technique « traditionnelle » de ce peintre, admirateur inconditionnel de Jackson Pollock et de Wilhelm de Kooning, et qui s’apparente en même temps à la technique de « dripping » (jet de peinture) et à celle de la figuration sous-jacente, parfois aléatoire, des visages et des masques.
Le deuxième ensemble, plus aéré et plus aérien, tantôt sidéral tantôt aquatique, n’en conserve pas moins le motif omniprésent et lancinant de la bulle et de la sphère, mais renvoie à d’autres questionnements : non seulement sur l’homme qui avance toujours masqué, mais aussi, -peut-être- sur l’univers qui, chaque fois que l’on en déchiffre une bribe, ouvre des portes sur de nouvelles énigmes et de nouveaux mystères.
Mais l’essentiel, pour Kamal Lakhdar, n’est pas là : il est dans la recherche, tantôt patiente, tantôt fiévreuse, tantôt gestuelle, tantôt appliquée, d’un dialogue intime et réactif avec la toile et la couleur, sans mignardise et sans complaisance, pour que chacun y trouve à voir et à sentir.
Jusqu’au 5 juillet 2009
Cathédrale du Sacré Cœur
Boulevard Rachidi-Casablanca