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Une soirée animée par une pléiade de grandes voix dans le genre, notamment Sanaa Mrahti, Naima Tahiri, Sajida, Mohamed El Yaacoubi, Mohamed Essoussi ou encore Yassine Jabrane.
Les mélomanes amoureux de cet art séculaire ont été tout particulièrement émerveillés par la voix mélodieuse de la petite Boutaina Belklak qui malgré son jeune âgé, 16 ans, a réussi à faire une bonne impression sur le public. Une interprétation qui a valu à cette jeune artiste originaire d'Errachidia d'être récompensée par un prix attribué par le Conseil de la ville du Grand Casablanca.
Organisée pendant deux jours par le Conseil de la ville de Casablanca, cette manifestation culturelle se veut une manière de célébrer cet art séculaire qui est le Malhoun, un genre typiquement marocain dont les origines remonteraient, selon les historiens, à la région d'Errachidia il y a de cela plus de 5 siècles.
Une manière aussi de promouvoir ce genre musical auprès des jeunes, à le diffuser auprès d'un large public tout en contribuant à son évolution sur la base d'une démarche respectueuse de ses fondamentaux.
C'est le pari des organisateurs de ce festival qui, outre les soirées musicales du Malhoun animées au siège du Conseil de la région, ont aussi programmé une exposition artistique dans la rue au quartier Habbous ainsi que des spectacles donnés par les troupes Issaoua et Hmadcha ou encore la troupe féminine Aissaoua sous la direction d'Aicha Doukkali.
Et pour joindre l'utile à l'agréable, un débat sur le Malhoun animé par des spécialistes du genre, entre autres, Mohamed Sadki, Mohamed Errachek, Mohamed Benali et Mohamed Ennamila.