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L'attentat suicide de samedi est le deuxième de l'histoire de Tombouctou, ville mythique au patrimoine culturel inestimable.
Le 21 mars, une tentative d'incursion d'islamistes avait commencé par l'explosion d'une voiture piégée, avec un kamikaze à son bord, vers l'aéroport de la ville.
Un militaire malien avait été tué, au moins deux blessés, et une dizaine de jihadistes ont aussi été tués pendant cette opération.
Comme les autres grands centres du nord du Mali, Tombouctou a été libérée fin janvier par des troupes françaises et maliennes de ces groupes islamistes armés.
Les combattants jihadistes se sont retranchés dans le massif des Ifoghas (région de Kidal, extrême nord-est), ils sont traqués depuis plusieurs semaines par des soldats français et tchadiens.