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L'Inter Milan n'a pas encore fait une croix sur le titre de champion d'Italie: vainqueur du Torino (2-0) dimanche, le futur adversaire du PSG en finale de la Ligue des champions ne compte plus qu'un point de retard sur Naples, contrarié à domicile par le Genoa (2-2).
Semaine faste pour l'Inter Milan ! Mardi, il a décroché son billet pour la sixième finale de Ligue des champions de son histoire après une demi-finale retour au scénario fou contre le FC Barcelone (4-3 a.p.).
Dimanche, il est revenu à une longueur du leader Naples, à deux journées du terme de la saison. Malgré son nul, c'est bien le Napoli, en tête de la Serie A avec 78 points, qui disposera le week-end prochain de la première balle de titre.
S'il s'impose à Parme et si l'Inter (2e, 77 pts) s'incline face à la Lazio, le scudetto reviendra à Naples pour la quatrième fois après 1987, 1990 et 2023.
Si les deux équipes se répondent avec le même résultat, il faudra attendre la 38e et dernière journée le 25 mai pour connaître le nom du champion 2025.
Et cela ne suffira peut-être pas. S'ils sont alors dos à dos avec le même nombre de points, le Napoli et l'Inter devront se départager lors d'un match d'appui, un scénario qui ne s'est produit qu'une seule fois dans l'histoire du championnat italien, en 1964.
Tout avait pourtant bien commencé dimanche pour les Napolitains qui ont ouvert rapidement la marque grâce à Romelu Lukaku (15e).
Mais le Genoa, assuré de son maintien, ne s'est pas désuni et a égalisé sur une tête du prodige italien Honest Ahanor (17 ans).
A la 64e minute, Naples a repris l'avantage grâce à Giacomo Raspadori, mais Johan Vasquez a ramené les deux équipes à égalité (84e) et relancé le championnat.
"Ils ont cadré deux fois, ils ont marqué deux fois. Cela me désole, car on aurait dû remporter ce match pour tout ce qu'on a montré, mais c'est le foot", a expliqué Antonio Conte, l'entraîneur "très amer" de Naples.
"On a grillé notre joker, il ne nous reste plus qu'à gagner nos deux derniers matches", a-t-il insisté.
Si les tifosi napolitains pouvaient espérer que l'Inter serait encore fatigué par sa victoire renversante contre le FC Barcelone (4-3 a.p.) ou aurait déjà la tête à la finale du 31 mai contre le PSG, ils ont vite déchanté.
Malgré un violent orage qui a stoppé le match brièvement et prolongé la mi-temps pendant plus de trente minutes, les Nerazzurri se sont imposés au Stade olympique de Turin grâce à un but de Nicola Zalewski (14e) et un penalty de Kristjan Asllani (49e).
Simone Inzaghi avait pourtant aligné une équipe bis, sans Lautaro Martinez, Marcus Thuram ou Yann Sommer, avec pas moins de neuf changements par rapport à celle qui avait écoeuré le Barça mardi soir à Giuseppe Meazza.
"Après les 120 minutes de mardi soir, j'avais des craintes avant d'affronter ce Torino, bien organisé, qui restait sur neuf matches à domicile de suite sans défaite", a avoué Inzaghi.
"On a livré un match solide, lucide, mais notre travail n'est pas encore fini", a prévenu le technicien italien qui a décroché sa 100e victoire en championnat aux commandes de l'Inter.
Semaine faste pour l'Inter Milan ! Mardi, il a décroché son billet pour la sixième finale de Ligue des champions de son histoire après une demi-finale retour au scénario fou contre le FC Barcelone (4-3 a.p.).
Dimanche, il est revenu à une longueur du leader Naples, à deux journées du terme de la saison. Malgré son nul, c'est bien le Napoli, en tête de la Serie A avec 78 points, qui disposera le week-end prochain de la première balle de titre.
S'il s'impose à Parme et si l'Inter (2e, 77 pts) s'incline face à la Lazio, le scudetto reviendra à Naples pour la quatrième fois après 1987, 1990 et 2023.
Si les deux équipes se répondent avec le même résultat, il faudra attendre la 38e et dernière journée le 25 mai pour connaître le nom du champion 2025.
Et cela ne suffira peut-être pas. S'ils sont alors dos à dos avec le même nombre de points, le Napoli et l'Inter devront se départager lors d'un match d'appui, un scénario qui ne s'est produit qu'une seule fois dans l'histoire du championnat italien, en 1964.
Tout avait pourtant bien commencé dimanche pour les Napolitains qui ont ouvert rapidement la marque grâce à Romelu Lukaku (15e).
Mais le Genoa, assuré de son maintien, ne s'est pas désuni et a égalisé sur une tête du prodige italien Honest Ahanor (17 ans).
A la 64e minute, Naples a repris l'avantage grâce à Giacomo Raspadori, mais Johan Vasquez a ramené les deux équipes à égalité (84e) et relancé le championnat.
"Ils ont cadré deux fois, ils ont marqué deux fois. Cela me désole, car on aurait dû remporter ce match pour tout ce qu'on a montré, mais c'est le foot", a expliqué Antonio Conte, l'entraîneur "très amer" de Naples.
"On a grillé notre joker, il ne nous reste plus qu'à gagner nos deux derniers matches", a-t-il insisté.
Si les tifosi napolitains pouvaient espérer que l'Inter serait encore fatigué par sa victoire renversante contre le FC Barcelone (4-3 a.p.) ou aurait déjà la tête à la finale du 31 mai contre le PSG, ils ont vite déchanté.
Malgré un violent orage qui a stoppé le match brièvement et prolongé la mi-temps pendant plus de trente minutes, les Nerazzurri se sont imposés au Stade olympique de Turin grâce à un but de Nicola Zalewski (14e) et un penalty de Kristjan Asllani (49e).
Simone Inzaghi avait pourtant aligné une équipe bis, sans Lautaro Martinez, Marcus Thuram ou Yann Sommer, avec pas moins de neuf changements par rapport à celle qui avait écoeuré le Barça mardi soir à Giuseppe Meazza.
"Après les 120 minutes de mardi soir, j'avais des craintes avant d'affronter ce Torino, bien organisé, qui restait sur neuf matches à domicile de suite sans défaite", a avoué Inzaghi.
"On a livré un match solide, lucide, mais notre travail n'est pas encore fini", a prévenu le technicien italien qui a décroché sa 100e victoire en championnat aux commandes de l'Inter.