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La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
Résidant en Belgique, Taha Adnan reste l’un des représentants de cette culture passerelle de part et d’autre. Epris de cette culture marocaine populaire et savante, Adnan qui est un médiateur culturel incontournable en Belgique, a su, manifestement, marier ses acquis littéraires de sa première jeunesse, avec ses ouvertures aux autres formes de pensée en Occident. Le résultat est une production prolifique qui reflète à la fois l’ici et là-bas, tout comme « Bye bye Gillo ». Et s’il y a un poète marocain qui brandit fort cette identité marocaine ouverte au monde, c’est bien lui, à travers ses périples sans fin, ses odes traduites dans différentes langues et leur portée sémantique fort expressive. Mais, bientôt, on devrait parler également du penchant romanesque chez l’écrivain. Car, et après son dernier recueil poétique « Je hais l’amour » où il a brillé dans les dédales de mots et les labyrinthes de maux, les lecteurs attendent impatiemment son premier roman à paraître prochainement. Une autre facette d’un être littéraire par excellence.








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