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Des échanges de tirs ont éclaté dimanche entre la police et des insurgés réfugiés dans une maison à Peshawar, au lendemain de l’attaque sanglante par les talibans de l’aéroport international de cette ville du nord-ouest du Pakistan, a annoncé une source officielle. Deux policiers ont été blessés par l’explosion d’une grenade à main lors d’un raid lancé contre une maison près de l’aéroport, a déclaré un responsable de la police locale, Imtiaz Altaf. Un autre responsable de la police, Imran Shahid, a confirmé l’échange de tirs mais indiqué ne pas savoir pour le moment combien d’insurgés étaient impliqués dans ces violences.
Yémen
Un nouvel attentat a visé, samedi soir, le gazoduc reliant des champs gaziers dans l’est du Yémen à un terminal sur le Golfe d’Aden (sud), a annoncé dimanche la compagnie Yémen LNG. Dans un communiqué publié sur son site internet, Yémen LNG a fait état du «sabotage du gazoduc liant le bloc 18 au terminal de Belhaf sur le Golfe d’Aden», précisant que l’explosion s’était produite à 00H35 (22H35 GMT) à 173 km au nord du terminal. Le communiqué n’indique pas si l’explosion a fait des victimes, et ne précise pas si ce gazoduc, le plus important du pays, a cessé de fonctionner
Afghanistan
Les dernières troupes combattantes françaises ont quitté Kaboul samedi, deux ans avant le retrait définitif de la force internationale, après la promesse du président François Hollande avant son élection.
Quelque 200 soldats du 35ème régiment d’infanterie de Belfort, chargés de protéger le désengagement, ont décollé vers 13H30 heure locale (09H00 GMT), a-t-on indiqué de source aéroportuaire. Ces hommes, après trois jours passés dans un sas de décompression à Chypre, devraient être de retour en France le 18 décembre. La France ne compte plus que 1500 soldats dans le pays, en particulier des formateurs et logisticiens essentiellement basés à Kaboul, en plus de médecins militaires.