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La police sud-africaine a annoncé lundi avoir déjoué un projet d’attentat à la bombe qui devait se produire lors du congrès du Congrès national africain (ANC, au pouvoir), sans doute fomenté par des membres de l’extrême droite. Quatre hommes, âgés de 40 à 50 ans, ont été arrêtés dimanche, indique un communiqué de la police. Ils seront inculpés et traduits en justice. «Ils avaient l’intention de déposer une bombe dans l’une des tentes», a déclaré un porte-parole de la police. Près de 5.000 membres de l’ANC, dont son président Jacob Zuma, des ministres et d’importants représentants des milieux d’affaires assistent au congrès de l’ANC qui s’est ouvert dimanche sur le campus de l’université de Mangaung.
Explosion
Dix fillettes afghanes âgées de neuf à 11 ans ont trouvé la mort lundi dans une explosion alors qu’elles ramassaient du bois dans la province instable du Nangarhar dans l’est de l’Afghanistan, apprend-on de source gouvernementale. La cause de l’explosion n‘est pas connue. Il s’agit peut-être d’une mine oubliée sur le terrain dans un pays en guerre depuis des décennies ou d’une bombe dissimulée par des insurgés du mouvement taliban. Les fillettes étaient parties chercher du bois dans la région de Chaparhar, près de la frontière avec le Pakistan, une zone où pullulent les groupes activistes les plus dangereux. Deux autres petites filles ont été blessées.
Déploiement
Les chefs d’état-major des Etats de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont validé, le week-end dernier, le Plan de concept d’opération harmonisé, en vue du déploiement de la Mission internationale de soutien au Mali (MISMA).
Réunis dans le cadre de la 31ème réunion extraordinaire de leur Comité, les Chefs d’état-major de la CEDEAO ont également évoqué la présence des forces en attente en Guinée Bissau pour le renouvellement des personnels affectés dans certains postes au sein desdites forces.
La validation du déploiement de la Mission internationale au Mali, constitue un pas supplémentaire pour appuyer toutes les actions de préparation, entreprises par le Comité des chefs d’état-major (CEMA) de la CEDEAO en vue de la participation des pays de la sous-région en tant que «contributeurs par les troupes à la Misma», souligne-t-on de source officielle.